Témoin de l’horreur : Panamza a retrouvé le chauffeur parisien d’Epstein
Exclusif. Panamza a identifié et contacté un employé-clé de Jeffrey Epstein, pédocriminel américain et agent d'Israël. Révélations.
Le 01.08.2019 à 22h28
L'info du jour serait restée secrète sans un homme mystérieusement décédé -fin 2014- d'un cancer rare et foudroyant (six mois seulement après sa détection) : Alfredo Rodriguez, ancien majordome (en 2004/2005) de Jeffrey Epstein qui avait volé puis tenté de revendre le carnet d'adresses du terrifiant criminel et trafiquant sexuel au service du Mossad.
Interrogé en 2009 par la police et le FBI (suite aux enquêtes diligentées sur Epstein), Rodriguez avait fait savoir qu'il avait annoté le carnet d'Epstein en encerclant notamment les noms des individus susceptibles -selon lui- davoir été des "victimes" ou des "témoins matériels" de son ex-employeur.
Panamza a consulté chacune des 92 pages de ce calepin, un document désormais en ligne (depuis janvier 2015) qui constitue une véritable mine d'or pour tout enquêteur indépendant ou officiel.
Encerclé et annoté, le nom d'un homme basé à Paris saute aux yeux : en consultant parallèlement les manifestes de vol qui détaillent les itinéraires et l'identité des passagers des jets privés d'Epstein, le même patronyme apparaît pour des voyages effectués entre 2003 et 2004.
Mieux encore : Panamza a obtenu deux récentes photographies (datées d'avril et juillet 2018) qui révèlent que ce chauffeur de profession (qui a croisé Bill Clinton, jadis proche d'Epstein) continue d'exercer son métier -15 ans après son premier contact avéré- au service de pédocriminel condamné en 2008.
Ces deux images -désormais en possession de Panamza- le réprésentent en train de poser fièrement devant un jet privé Gulfstream IV immatriculé N212JE : il s'agit de l'un des 3 avions (deux jets et un Boeing 727) qui furent possédés et utilisés par Epstein.
Et ce jet fut son dernier, avant son arrestation du 6 juillet -de retour de Paris…
Panamza a contacté l'individu pour lui demander notamment pourquoi il était considéré par Rodriguez comme un éventuel "témoin matériel" des agissements illégaux d'Epstein sur Paris.
Son nom :…