Kennedy avait menacé les « stupides » Israéliens
INFO PANAMZA. Des documents déclassifiés révèlent que le président Kennedy s'était radicalement opposé -5 mois avant son assassinat- à la volonté d'Israël de posséder l'arme nucléaire. La preuve par les sources.
Le 04.05.2019 à 16h33
Sans surprise, cette info édifiante n'a pas été relayée par les médias français traditionnels : Kennedy avait sérieusement menacé les dirigeants israéliens en juin/juillet 1963, quelques semaines avant son brutal assassinat.
Avant d'aller plus loin, Panamza vous propose de re-consulter son dossier exhaustif sur les relations exécrables des frères Kennedy avec le clan sioniste.
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Rappels supplémentaires et préliminaires :
* Kadhafi et un proche conseiller d'Arafat (qui fut défiguré en 1972 par un colis piégé du Mossad) avaient accusé Israël pour l'éxecution -le 22 novembre 1963- de John Fitzgerald Kennedy.
* Ben Gourion, fondateur d'Israël, franc-maçon et Premier ministre alors en exercice (jusqu'au 15 juin 1963, date de sa démission inexpliquée) est celui qui a inspiré les propos du sioniste et kabbaliste Jacques Attali selon lesquels Jérusalem serait un "joli lieu pour un gouvernement mondial".
En 1962, le criminel de guerre Ben Gourion (qui avait mené et justifié l'épuration ethnique des Palestiniens), avait accordé une interview au magazine américain Look dans laquelle il envisage Jérusalem comme centre des Nations unies et lieu d'une "Cour de l'Humanité".
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Les dernières révélations sur Kennedy et Israël ont été (superficiellement) esquissées par le journal israélien Haaretz –vendredi 3 mai.
Panamza vous propose aujourd'hui de consulter directement les documents déclassifiés et leur synthèse édifiante : on apprend ainsi que Kennedy s'était plaint auprès du ministre français des Affaires étrangères de la "stupidité" d'Israël à s'obstiner à vouloir acquérir l'arme nucléaire. On y découvre également un Ben Gourion invoquant la Shoah pour tenter d'amadouer -en vain- Kennedy…
Voici, ci-dessous, les deux liens internet renvoyant à deux synthèses (l'une courte issue de la presse généraliste arabe et anglophone, l'autre longue extraite d'un site officiel américain) intégrant les documents classés jusqu'alors "secrets" ou "confidentiels"…