Raciste et violent, Gamal Abina menace Panamza
Pseudo-militant de la cause arabo-musulmane, Gamal Abina, étroitement lié à la mouvance sioniste, a proféré des menaces physiques à mon encontre. La preuve par sa correspondance.
Le 05.02.2020 à 18h18
Né en juillet 1968 à Auch (Occitanie), le Franco-Algérien Gamal Abina exerce officiellement la professsion de sérigraphe à Pantin.
Il "dirige" en parallèle sa prétendue "agence de communication" installée dans le mêmes lieux (et présidée par son proche Aboulhacq Abina).
Tels sont les seuls éléments incontestables à propos de Gamal Abina, obscur militant ostensiblement islamogauchiste et multi-cartes (CCIF, MIB, Parti des Indigènes, "Parti indépendant", Amal-50, "Mouvement des droits civiques", etc) qui affiche en parallèle (sur la chaîne sous contrôle israélien RT France qui l'invite régulièrement en tant que pseudo-expert) sa connexion au Consistoire, organisme communautaire juif dirigé par l'ultra-sioniste Joël Mergui.
Abina, compagnon de route revendiqué du duo Houria Bouteldja/Marwan Muhammad et groupie énamouré de Tariq Ramadan, se présente parfois comme un "arabo-musulman" mais également -curieuse contorsion spirituelle- comme un "juif oriental" (auprès de l'élu socialiste Akli Mellouli, soutien du clan Valls).
Début février, visiblement enragé par mon article sur sa prestation ridicule face à l'antimusulman Nader Allouche, le pseudo-antiraciste Abina a employé des termes dignes des racistes les plus avinés du Rassemblement national en me qualifiant de "racaille importée du Maroc" et de "blédos dégénéré".
En attendant de vous présenter la preuve de ces menaces physiques à mon encontre, un élément d'information significatif à propos d'Abina mérite ici d'être exposé. Avant de servir de caution arabo-banlieusard à la chaîne RT France, ce piètre et nerveux débatteur (souvent confus et digressif) fut regulièrement invité par un média aux ramifications sionistes occultes : Al Janoubiya TV.
Installée à Paris, cette chaîne privée est possédée par le Franco-Tunisien Mohamed Ayachi Ajroudi.
L'homme est une "synthèse", pour reprendre le trait d'esprit du scénariste Michel Audiard : millionnaire installé en Arabie saoudite, cet ingénieur entretient des liens étroits avec le clan sioniste comme en témoigne sa participation avec l'ambassadrice d'Israël en France à une cérémonie mémorielle sur la Shoah.
En sa compagnie : un certain Hassen Chalghoumi, pantin historique du lobby sioniste et vedette souvent conviée (comme Abina) par Al Janoubiya TV.
Nulle surprise à ce que ce patron richissime puisse ainsi financer, comme il s'en vante lui-même, la "marche des musulmans contre le terrorisme" de 2017 qui fut pilotée (avec Chalghoumi) par "l'agent d'Israël" (selon le contre-espionnage français) Marek Halter.
Salarié par Ajroudi, l'animateur qui déroula fréquemment le tapis rouge à Gamal Abina (tout particulièrement durant l'année 2017) est Nader Alami, déjà exposé par Panamza pour sa connexion avec les propagandistes pro-israéliens.
Pour saisir pleinement la duplicité d'Abina sur la question palestinienne (offensif en apparence, sous tutelle sioniste en privé –comme ses camarades du PIR qui ont encore débattu risiblement, dimanche dernier, de "l'être-Juif"), il suffit d'observer son attitude (verbale et corporelle) lors d'un débat organisé avec Eric Gozlan, partenaire associatif de Chalghoumi, ami revendiqué de l'extrémiste israélien de droite Yossi Gal et lui-même ancien militaire engagé dans la sanglante invasion israélienne du Liban.
Observez Abina montrer patte blanche à Gozlan en lui affirmant (à 18') qu'il le "rejoignait" dans sa lutte contre "l'extrême droite" (mise en scène à travers le rappel de son hostilité à Alain Soral -menacé physiquement en 2011) avant de lui déclarer docilement (à 31') qu'Al Qaïda (lié au Mossad et à Tsahal) était un groupe terroriste dirigé uniquement par "le milliardaire" Ben Laden.
Pour conclure le débat et finir de séduire l'ultra-sioniste Gozlan (assis à sa gauche), Abina -un brin obséquieux- affirme (à 46') s'être "beaucoup intéressé à la pratique juive" et déplore que "la question palestinienne ait séparé juifs et musulmans".
Voici, ci-dessous, la retranscription des injures et menaces physiques proférées à mon encontre par Abina : ce fou furieux, qui se vante d'être l'ami de Bouteldja et Muhammad (entre autres figures narcissiques, faussement subversives et hexagonales de la cause dite musulmane), me promet notamment de me "traîner par les cheveux par terre" au point de me faire "supplier" d'arrêter…
Je détiens également un message vocal de sa part en guise de preuve judiciaire supplémentaire -en cas de procès.
Découvrez l'intégralité de ses propos délirants tenus…