Évasion de Carlos Ghosn : le rôle secret d’Israël
Selon les services secrets français, l'ex-PDG de Renault-Nissan a bénéficié de l'aide décisive de barbouzes israéliens pour s'enfuir du Japon. La preuve par la source.
Le 08.01.2020 à 14h55
Il n'abordera pas le sujet durant sa conférence de presse organisée cet après-midi à Beyrouth.
Pour cause : la presse locale a déjà relayé la plainte d'avocats libanais qui lui reprochent son séjour professionnel de 2008 en Israël. En interne, ses collaborateurs se souciaient -cela ne s'invente pas- de l'influence occulte du "lobby juif" selon une enquête de Capital, site économique spécialisé.
Que penseraient les Libanais en apprenant le rôle-clé du régime honni de Tel Aviv dans l'évasion spectaculaire de Carlos Ghosn?
Selon un reporter français lié -de longue date- au monde du renseignement (notamment la DGSE), le patron franco-libanais -dont il faut rappeler ici qu'il fut le lauréat 2018 du Prix Scopus (une récompense remise par l'Université hébraïque de Jérusalem)- a bénéficié de l'intervention d'une entreprise high-tech basée en Israël pour quitter clandestinement le Japon.
Rappel : "le Prix Scopus est décerné à un individu ou à une association qui ont excellé dans leurs domaines respectifs et dont les efforts humanitaires et l'engagement exceptionnel ont contribué à l'amélioration de l'Université Hébraïque, de l'État d'Israël, du peuple juif et de l'Humanité".
Voici, ci-dessous, les détails et la source de cette information édifiante relative à la coopération de barbouzes israéliens…