Larbin du Mossad, le barbouze Jean-Paul Ney veut « éclater » Panamza
Baroudeur de la désinformation lié aux services secrets israéliens, le mercenaire d'opérette Jean-Paul Ney a réitéré ses menaces contre Panamza.
Le 08.08.2018 à 17h02
Le mardi 7 août, via son compte Instagram, Jean-Paul Ney s'est réjoui de la censure aux États-Unis de l'animateur pseudo-dissident Alex Jones par ces termes : "Il était temps. Ce malade mental a créé une génération de débiles tout comme Soral et Dieudonné.
Sans compter le pognon qu'il s'est fait avec l'ignorance crasse des gens.
En France, il faut éclater Panamza et Wikistrike".
Le 26 mars, réagissant sur son Twitter à un commentaire anti-Panamza du militant crypto-sioniste Rudy Reichstadt, Jean-Paul Ney avait fait connaître publiquement son interrogation : "Y'a pas moyen de le faire taire ? Sérieusement ?" .
Le 26 mai 2017, le site de Franceinfo avait publié un article particulièrement complaisant envers Jean-Paul Ney, caméraman raciste, antimusulman et résident en Israël présenté comme un prétendu "journaliste indépendant" .
Incarcéré en 2008 en Côte d'Ivoire pour "attentat" et "complot contre l'autorité de l'Etat", le barbouze Jean-Paul Ney a été condamné en 2016 par le tribunal correctionnel de Paris pour "recel de violation du secret de l'enquête" en raison de sa publication -via Twitter, au soir du 7 janvier 2015- de l'avis de recherche des frères Kouachi, auteurs présumés du mystérieux attentat contre Charlie Hebdo.
Rappel : le judéosioniste Jean-Paul Ney -qui se présente comme un "Marrane espagnol" selon le média israélien Mena- avait pu divulguer l'identité des Kouachi quelques heures seulement après la révélation exclusive –par la chaîne israélienne i24news– de leur double nationalité franco-algérienne.
Cet acte illégal ne l'avait pas empêché d'être invité –en février 2015– par la Licra, officine pseudo-antiraciste.
À souligner : son avocat est Sévag Torossian, l'homme qui avait assuré la défense judiciaire de Mohammed Dahlan, un agent palestinien de l'axe Tel Aviv-Washington-Le Caire qui fut soupçonné d'avoir empoisonné Yasser Arafat.
Sur cette image, Jean-Paul Ney (à gauche) pose en compagnie de Mounir Mahjoubi, secrétaire d'État au numérique, candidat à la mairie de Paris et proche de l'ultrasioniste "Fondation France-Israël", lors d'un colloque qui s'est récemment tenu à Bruxelles.
À noter : après avoir infiltré des mosquées françaises avec un "journaliste" israélien et agent assumé du Mossad, Jean-Paul Ney prépare un documentaire sur les prétendus "fabricants de la haine" (à savoir, essentiellement, les critiques d'Israël) dans lequel figure favorablement le cybercriminel Grégory Chelli alias Ulcan.