Juan Branco, manipulateur assisté par Israël
INFO PANAMZA. La vidéo intime du macroniste Benjamin Griveaux, dévoilée par un Russe proche de Juan Branco, a bénéficié d'une protection informatique depuis Israël. La preuve par la source.
Le 09.03.2021 à 13h46
C'était l'affaire politique du moment, nimbée de mystère et survenue juste avant la séquence Covid-19.
Panamza l'avait traité à contre-courant des médias traditionnels.
Rappel du dossier :
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J'avais notamment été le premier à divulguer l'identité réelle (longtemps tenue secrète dans les médias) de "Zoé Sagan", complice de Branco et premier compte d'influence à diffuser la vidéo.
Idole de l'ultra-gauche, ancien serviteur zélé du lobby sioniste et imposteur régulièrement épinglé par Panamza (un média "proche des milieux très réactionnaires musulmans" , ose-t-il), Branco – ami et avocat éphémère (avant le relais du trouble Yassine Bouzrou) du "pervers" Pavlenski- affirmait (mensongèrement) n'avoir joué aucun rôle dans le déclenchement de la sombre affaire Griveaux (toujours en cours devant la justice).
L'un des points exposés alors par Panamza a depuis été corroboré par une autre source : outre une avocate liée aux services secrets français et les agissements encore occultes de Branco (un risible narcisse germanopratin qui vous demande en 2021 "150 000 euros" –après avoir tenté 50 000– pour monter vaguement "une école, un média et une plate-forme"), des Israéliens ont bien joué un rôle -encore obscur- dans l'affaire Griveaux.
"Panamza a vérifié les dessous du site PornoPolitique à l'origine des vidéos compromettantes : son serveur est basé aux Etats-Unis et la plate-forme web (à partir de laquelle il a été développé) n'est autre que Wix -une compagnie israélienne -installée à Tel Aviv."
Puis cette autre révélation sourcée :
Les créateurs du site ont eu recours à un prestataire basé au Canada mais contrôlé -depuis 1997- par Israël.
Et la cerise sur le gâteau (également attestée par la source de l'info) :
Pavlenski, ce pseudo-anarchiste russe qui célèbre les "kibboutzim" d'Israël…
Le 14 février dernier, un an après le déclenchement du scandale, Paris-Match revenait sur l'affaire et évoquait un fait étrange :
Pavlenski s’est débrouillé sous les radars, via un compte américain ouvert sur WordPress qui reste mystérieux, la demande d’entraide judiciaire adressée aux Etats-Unis ayant été refusée.
L'article ne précise pas, comme l'ont fait Panamza et Le Parisien, que le site de Pavlenski, doté effectivement d'une adresse américaine, est enregistré au Canada.
Surprise, surprise : l'été dernier, un éminent journaliste d'investigation a rapporté incidemment -sans s'y attarder- un nouvel élement d'information corroborant la présence d'Israéliens dans l'affaire Griveaux.
Voici…