Attentat « djihadiste » de Magnanville : une policière en garde à vue
INFO PANAMZA. Franc-maçonnerie, djihad, réseaux israélo-américains, police du renseignement et clan Valls. Découvrez en détail le dernier rebondissement de l'obscure affaire de Magnanville : le placement en garde à vue d'une major de police intéressée par la question terroriste et liée aux deux victimes de l'attentat de 2016.
Le 10.04.2018 à 18h08
Que s'est-il vraiment passé ce 13 juin 2016 dans la petite commune francilienne de Magnanville?
Révélé hier par la presse hexagonale, le nouveau rebondissement de l'enquête sur la mystérieuse tuerie est spectaculaire.
Le Parisien et Franceinfo rapportent un élément crucial d'information : la policière mise en garde à vue travaillait au moment des faits dans le commissariat de Mantes-la-Jolie, lieu dans lequel furent affectés les deux policiers poignardés.
Autre fait troublant : cette policière syndicaliste avait hébergé une jeune femme dite "radicalisée" et aujourd'hui incarcérée après la stupéfiante découverte en sa possession d'un fichier contenant les noms de 2626 agents du renseignement.
Avant d'aller plus loin, rappel ci-dessous des informations inédites sur l'affaire de Magnanville qui furent publiées par Panamza dès le 14 juin 2016.
LAROSSI ABBALLA : LA PREMIÈRE AGENCE AYANT ANNONCÉ LA MISE EN LIGNE DE SA VIDÉO EST DIRIGÉE PAR L'ISRAÉLO-AMÉRICAINE RITA KATZ.
Mardi 14 juin, à 15h55 précisément, un organisme américain dénommé "SITE" fut le premier groupe constitué à annoncer sur Internet -via Twitter- la mise en ligne de la vidéo de Larossi Abballa, auteur présumé du double assassinat de Magnanville.
Rappel : généralement présentée par la presse occidentale comme un simple "centre de surveillance des sites islamistes", SITE est plus exactement une officine de propagande dirigée par une ultra-sioniste israélo-américaine dénommée Rita Katz.
Cette dernière s'est notamment fait connaître sur la scène internationale par son obtention exclusive de documents audiovisuels imputés aux dirigeants d'Al Qaïda.
Dès le lendemain des attentats de Paris, SITE avait été également le première organisation à relayer la prétendue revendication officielle de l'État islamique
{http://www.panamza.com/01122015-daesh-rita-katz}. Détail à souligner : en France, la première annonce de la vidéo revient au tandem David Thomson (16h25)-"VegetaMoustache"(
16h00) qui incarne -pour l'audience francophone- la même démarche pseudo-indépendante de SITE {https://twitter.com/ _DavidThomson/status/ 742724743078522880; https://twitter.com/ VegetaMoustache/status/ 742718482274516992; https://www.facebook.com/ panhamza/photos/ a.259863080821062.107374182 7.258337060973664/ 675969389210427}.
POURQUOI LE "DJIHADISTE" LAROSSI ABBALLA A-T-IL DIFFUSÉ SA VIDÉO-CONFESSION À UN JOURNALISTE PROCHE DES RÉSEAUX ISRAÉLIENS ?
L'assassinat d'un policier et de sa compagne, survenu hier à Magnanville, a été revendiqué en vidéo -via l'application Facebook Live- par son auteur présumé Larossi Abballa.
David Thomson, journaliste de la radio publique RFI, affirme avoir eu accès à cette vidéo de "13 minutes" avant sa suppression par Facebook. "Larossi Abballa était dans ma liste de contacts Facebook mais je ne le connaissais pas" a-t-il fait savoir aujourd'hui via Twitter {http://panamza.com/bpz}.
Aballa, ex-délinquant multirécidiviste âgé de 25 ans et livreur à domicile qui avait immatriculé son entreprise de restauration le 19 avril, se serait donc abonné au compte Facebook de "l'expert du djihadisme" David Thomson, suivi à ce jour par 1435 abonnés {http://panamza.com/bqa}.Thomson aurait alors découvert -par hasard et sur son mur d'actualité- la vidéo diffusée par l'un de ses 1435 abonnés, inscrit d'ailleurs non pas via son compte Facebook homonyme ("Larossi Abballa") mais à travers un autre compte dénommé "Mohamed Ali" {http://panamza.com/bpy}.
Il aurait donc été le seul journaliste à pouvoir ainsi visionner dans la nuit de lundi à mardi la vidéo d'Abballa -mise en ligne hier à 20h52- et diffusé ensuite un résumé de ses revendications.
Qui est Thomson?
Membre d'une radio noyautée par des proches du Bétar (groupuscule ultra-sioniste) selon son ancien responsable Richard Labévière, Thomson avait relayé au lendemain des attentats du 13 novembre (avec ses camarades anonymes de Twitter surnommés "Gilles N" et "Jacques Raillane") la première revendication de Daesh dans les minutes qui ont suivi sa prétendue "divulgation" par SITE, officine dirigée par la propagandiste israélo-américaine Rita Katz {http://www.panamza.com/
01122015-daesh-rita-katz/; https://youtu.be/ NmGOB8f-oHE}. Jamais critiqué ou interrogé sur son parcours opaque antérieur ainsi que sur le caractère extraordinaire de sa dernière découverte par la presse traditionnelle (notamment par Mediapart qui l'invite régulièrement ainsi que par Patrick Cohen de France Inter), Thomson -qui apparaît sur la scène médiatique en 2011, à la faveur de l'invasion de la Libye- avait collaboré, en complément de RFI, avec France 24, l'antenne alors supervisée par Franck Melloul, fondateur de la chaîne israélienne i24news {https://youtu.be/
6Ybn464NCpg; https://youtu.be/ Q7oiCAC0ejo;https://youtu.be/ lgtG5gGv9mY; https://youtu.be/ N_ePWMIgzZg}. L'homme participe depuis le début du phénomène djihadiste en France à sa dramatisation anxiogène sur la scène médiatique. Le 25 avril 2014, sur le plateau de Ce soir ou jamais, Thomson avait d'ailleurs été taclé par l'avocat William Bourdon et le sociologue Raphaël Liogier pour avoir déclaré, aux côtés de l'agent d'Israël Marek Halter, que "tous" les djihadistes partis en Syrie veulent revenir commettre des "actes terroristes" en France {https://youtu.be/
-aIenzueXvo?t=20m53s; http://panamza.com/bpx}.
Mise à jour du billet ci-dessus : juste après avoir reçu le prix Albert-Londres, le "spécialiste" David Thomson -récemment encensé sous la plume du rédacteur judéosioniste Alexandre Devecchio du Figaro– s'est exilé aux États-Unis comme prétendu "correspondant" pour RFI (2 chroniques en un an…).
Qui est la policière placée hier en garde à vue, comme le furent également ses deux enfants âgés de 26 et 30 ans?
Un premier détail interpelle : quelques heures après la divulgation de son patronyme complet sur leurs sites respectifs, L'Express et L'Obs ont rétropédalé en occultant son nom, contrairement au quotidien britannique The Guardian qui l'affiche aujourd'hui dans ses colonnes (preuve par le cache Google que tout un chacun peut consulter).
À partir de son identité complète, il devient aisé d'apprendre que Maryline…