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Israël et le 11-Septembre : l’extrême gauche (aussi) vous cache la vérité

INFO PANAMZA. Un site d'information animé par des critiques d'Israël a tenté de réfuter l'implication d'Israël dans les attentats du 11-Septembre.

Le 13.09.2021 à 18h18

Les anciens lecteurs de Panamza, et notamment ceux qui ont consulté mon livre sur la question, savent combien il existe d'indices convergents (et non pas de preuves judiciaires, à ce jour) pour soupçonner le rôle-clé d'Israël et du lobby sioniste international dans la préparation, l'exécution et la désinformation sur le 11-Septembre.

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20 ans après l'évènement, alors que la presse occidentale a rejoué la carte sensationnaliste de l'émotion larmoyante au détriment de l'investigation des zones d'ombre, un élément inédit est apparu : jusqu'alors réfutée essentiellement par des journalistes et militants associés à la défense d'Israël, la thèse controversée de la responsabilité israélienne dans les attentats de 2001 a été attaquée par des personnalités assimilées à l'extrême gauche dite antisioniste.

Samedi, le site d'information anglophone The Grayzone, fondé par Max Blumenthal (soutien de la thèse -d'origine sioniste– de l'implication saoudienne et fils du conseiller –sioniste– des Clinton Sydney Blumenthal), a publié un long article croustillant pour tenter de discréditer l'affaire des Israéliens joyeux (surnommés "Dancing Israelis") qui furent arrêtés par la police new-yorkaise dans l'après-midi du 11 septembre 2001 puis longuement interrogés par le FBI après avoir manifesté une célébration incongrue devant le spectacle de la première tour embrasée du World Trade Center (ils étaient prépositionnés selon Robert Baer, ex-agent de la CIA, et munis d'une caméra).

En résumé : sous prétexte qu'ils ne "dansaient" pas littéralement et que leur compagnie de déménagement (Urban Moving Systems, une couverture du Mossad) était dirigée par un sayan (collaborateur du Mossad) qui fut en parallèle un escroc financier, ces jeunes nationalistes arrêtés ne pouvaient pas travailler pour les services secrets israéliens et n'avaient aucune préconnaissance des attentats. 

Mieux encore : l'auteur du papier, dénommé David Sheen (un Israélo-Canadien), prétend avoir interviewé en août dernier l'un des 5 Israéliens (qui aurait évidemment réfuté toute implication terroriste) sans jamais décliner son identité.

Je ne reviendrai pas ici sur les nombreux détails indiquant -au contraire- la connexion de ces jeunes hommes avec Aman, le service de renseignement militaire israélien, et l'ensemble de leurs attitudes suspectes (dès la veille, au 10 septembre 2001) relatées notamment par la journaliste Whitney Webb.

Je renvoie à mes nombreux papiers sur ce point toujours litigieux et à mon livre de 2013.

En bonus : Panamza vous propose de découvrir ci-dessous un documentaire inégal sur le sujet (qui s'aventure piteusement sur la thèse des hologrammes…) mais qui permet d'aborder la question avec des proches. 

Il s'agit du film "Le 11 septembre et le grand jeu israélien", vendu en ligne (depuis samedi) pour 5 euros par la bande à Soral.

Son auteur est Laurent Guyénot, un chercheur aujourd'hui "soralien" qui s'est largement appuyé sur mes travaux (pour preuve, j'ai notre correspondance datant de 2012 dans laquelle je l'orientais vers les principaux auteurs américains). 

Notez qu'il me citait encore en 2015 ("Le livre électronique de Hicham Hamza réunit l’ensemble du dossier à charge d’Israël, avec une rigueur irréprochable et l’ensemble des sources aisément accessibles") mais suite à ma dénonciation (en 2019) du racisme anti-arabe du mythomane et plagiaire Soral, mon travail d'enquête est désormais invisibilisé.

Voici la bande-annonce, ci-dessus, et le documentaire, ci-dessous, dans son intégralité d'1h53.

Bon visionnage ! 😉 …


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