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Coronavirus : Trump recrute un Marocain pro-implants de Big Pharma

INFO PANAMZA. Moncef Slaoui, chargé de développer un vaccin contre le Covid-19, est un promoteur de la pose d'implants électroniques dans le système nerveux. La preuve par les sources.

Le 16.05.2010 à 13h33

Un risible chauvinisme de bas étage.

Ces dernières semaines, de nombreux Algériens des réseaux sociaux se félicitaient de la possible embauche par l'Administration Trump (via l'obscur comploteur ultra-sioniste Jared Kushner) du scientifique d'origine algérienne Elias Zerhouni.

Coup de théâtre : c'est finalement le Maroco-Belgo-Américain Moncef Slaoui qui vient d'être recruté pour développer officiellement un vaccin contre le coronavirus –d'ici la fin de l'année.

Version longue : 

Aussitôt, d'innombrables posts de nationalistes marocains (assistés par des médias contrôlés par la monarchie) ont proliféré sur les réseaux sociaux : sous prétexte qu'un Marocain était mis en avant par Trump, il fallait donc se réjouir -sans creuser davantage.

Problème : derrière son allure humble et discrète, Moncef Slaoui est l'incarnation du scientifique-businessman au service exclusif de Big Pharma -ces grandes compagnies biomédicales qui tirent profit des épidémies.

Mieux encore : dès le début des années 2010, Slaoui -qui venait d'épouser une autre figure affairiste et scientifique (liée à Israël)- se distinguait par la promotion zélée (et digne de Bill Gates) d'une technique jugée dangereuse par certains experts : la pose d'implants électroniques dans le système nerveux du corps humain afin de lutter contre des maladies chroniques.

MS

Panamza vous propose de découvrir ci-dessous les sources détaillées relatives à son militantisme biotechnologique sur la question ainsi que les connexions de son épouse.

À noter : son employeur historique GSK (co-possédé par le puissant fonds américano-sioniste BlackRock) a effacé de son site l'une de ses recherches sur la pose d'implants. Panamza a retrouvé une copie dans les archives du web. 

Voici les…


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