Labo de Wuhan : derrière l’accusation, des agents d’Israël
INFO PANAMZA. Accident ou false flag ? La thèse d'une "fuite de labo chinois" dans l’origine du coronavirus est curieusement martelée par des scientifiques et journalistes engagés pour Israël. La preuve en vidéo.
Le 17.04.2020 à 19h03
Ces derniers jours, les chasseurs de complotistes ont mal dormi.
Un basculement de paradigme, un ébranlement des convictions, une migraine insupportable.
Pour cause : en moins d'une semaine, la piste (évoquée dès le 28 janvier par Panamza) du "labo de Wuhan", autrefois raillée ou villipendée, a été légitimée par la presse mainstream US et les services locaux de renseignement.
Ce labo avait été inauguré par l'obscur Bernard Cazeneuve, agent sioniste zélé, membre du Bilderberg et personnage-clé de la séquence terroriste des années 2015/2016…
Nouveau rebondissement : ce vendredi 17 avril, le prix Nobel de médecine Luc Montagnier a fait sensation sur CNews en validant une recherche indienne (parue le 31 janvier et vivement décriée alors) selon laquelle le Covid-19 est un virus artificiel contenant des éléments issus du VIH.
Prenons un peu de hauteur.
En 48 heures, ce qui était moqué en France est sur le point de devenir une vérité conventionnelle : après la thèse de l'origine animale, l'hypothèse d'un coronavirus "échappé accidentellement" du laboratoire franco-chinois de Wuhan prend de l'ampleur.
Et si cétait faux ?
Soyons précis : et si la Chine, aujourd'hui accusée de toutes parts pour avoir caché cette prétendue fuite, était victime d'un sophistiqué false flag ?
En clair : tout le monde va se rallier progressivement à la thèse d'une origine artificielle probable dans la pandémie en cours mais le véritable enjeu politique et stratégique est ailleurs.
L'apparition du virus en Chine signifie-t-elle nécessairement que ce virus est issu d'un laboratoire chinois ?
Si tel est le cas, les deux laboratoires de virologie de Wuhan (dont l'opaque P4 initié par la France) seraient effectivement les meilleurs suspects.
Mais supposons ici que la Chine soit injustement accusée : quels seraient alors les protagonistes d'une telle manipulation ?
Une chose est certaine : après enquête, Panamza a identifié un nombre étonnant d'agents pro-israéliens radicaux dans la diffusion de cette thèse.
Souvenez-vous.
Dès le 6 mars, Panamza évoquait en détail ceci :
INFO OU INTOX ? Un microbiologiste issu du renseignement militaire israélien affirme que le coronavirus est une arme bactériologique développée dans un lieu sous contrôle franco-chinois. La preuve par la source.
J'ai depuis appris, après des recherches plus poussées, que ce scientifique avait été l'un des principaux artisans (en 2002/2003) de l'imputation mensongère de l'envoi d'anthrax aux États-Unis par l'Irak de Saddam Hussein…
En somme : ce scientifique, par ailleurs spécialiste reconnu du programme bactériologique chinois, est parallèlement un désinformateur qui a servi (et sert toujours?) les intérêts d'Israël, pays qui traverse sereinement la crise sanitaire mondiale.
Allons plus loin.
Après enquête, j'ai découvert qu'un brillant documentaire-choc vu par près de 2 millions d'internautes, réalisé par un média new-yorkais de désinformation ultra-trumpiste, mis en ligne le 7 avril et censé prouver la responsabilité du laboratoire de Wuhan dans l'origine du Covid-19 a été fabriqué, de A à Z, par des agents d'Israël (en connivence, pour certains d'entre eux, avec la CIA).
Panamza vous propose de découvrir ci-dessous ce documentaire sous-titré en français avant de consulter les sources attestant, pour chacun des protagonistes de cette vidéo, leur engagement sioniste radical dans la mouvance dite néoconservatrice.
Voici…