Le père d’Elisabeth Borne avait servi le terrorisme israélien
INFO PANAMZA. La nouvelle Première ministre est issue d'une famille qui accompagna la genèse sanglante de l'État d'Israël. La preuve par les sources.
Le 17.05.2022 à 13h33
Deux poids deux mesures, épisode 2987.
Souvenez-vous : à la moindre promotion ministérielle d'un citoyen d'origine maghrébine et de culture musulmane, c'était le tam-tam médiatique.
De concert, tous les éditorialistes soulignent et martèlent alors l'origine "arabe" d'une Rachida Dati, d'une Fadela Amara ou d'une Najat Vallaud-Belkacem (remarquez, au passage, que les hommes issus du Maghreb ne sont jamais nommés à des poste-clés du gouvernement français).
Hier, lundi 16 mai, à l'annonce de l'arrivée à Matignon d'Elisabeth Borne (posant sans rechigner, ci-dessus, avec l'agresseur sexuel impuni Frédéric Haziza), tous ont évidemment rappellé qu'elle était la seconde femme, après Edith Cresson, à devenir Première ministre.
Aucun des commentateurs patentés de la vie publique n'a souligné, par contre, qu'elle était également la première à cumuler deux caractéristiques : femme et de culture juive.
Une double identité qui fut celle de l'ultrasioniste surencensée Simone Veil, à propos de laquelle le journaliste Jean-Pierre Elkabbach rapporta sur CNews que sa non-nomination à Matignon par l'ex-président Valéry Giscard d'Estaing causa à ce dernier la perte des élections en 1981…
Elisabeth Borne, première femme et fille d’immigré juif à Matignon : une omission délibérée qui ne fut pas pratiquée pour le cas analogue de Rachida Dati…
Une autre singularité d'Élisabeth Borne, petite-fille de la Normande Marie-Louise Jacob et ministre qui déroula régulièrement le tapis rouge au Crif, mérite aujourd'hui d'être exposée : comme Agnès Buzyn, ex-ministre décriée de la Santé, son père immigré, d'origine russo-polonaise et suicidé en 1972, était un militant actif du courant d'extrême droite du sionisme, notamment celui qui s'exprima dans des milices terroristes dites paramilitaires (Irgoun et Stern) .
Et ce, avant comme après la Seconde guerre mondiale et sa déportation dans les camps avec son frère, lui-même devenu par la suite un représentant (décédé en 2016) du Crif dans le Gard.
En résumé ?
Des années 30 à nos jours, la famille paternelle d'Elisabeth Borne, nouvelle Première ministre de France, a tissé et entretenu des liens étroits avec l'extrême droite israélienne, depuis ses idéologues fondateurs parvenus au sommet de l'État jusqu'aux intimes et proches désormais installés à Tel Aviv.
Panamza vous propose de consulter ci-dessous chacune des sources relatives à ces informations passées sous silence par la presse dite indépendante de France.
Voici les…