Epstein fut secrètement protégé par un « sioniste » du clan Bush
INFO PANAMZA. Découvrez l'identité de l'homme au service d'Israël qui avait validé un accord secret avec Jeffrey Epstein, pédocriminel et agent du renseignement israélien.
Le 21.01.2010 à 12h55
Contrairement aux pseudo-dissidents francophones qui encensent Donald Trump (les adeptes de Soral et Cossette), les lecteurs de Panamza ne seront pas surpris d'apprendre que les deux avocats choisis par le président américain dans son procès en destitution sont non seulement liés à Israël mais également anciens défenseurs d'Epstein.
Il s'agit de Kenneth Starr (issu du courant chrétien sioniste, procureur de l'affaire "Monica Lewinsky" qui fut –via le Mossad- instrumentalisée par Netanyahou) et Alan Dershowitz (propagandiste de longue date de la cause sioniste).
Notons au passage que Dershowitz fut aussi proche de Meir Dagan, l'ex-patron du Mossad (dont l'association United Hatzalah avait diffusé la première photo-choc et bidon du carnage du Bataclan…).
Cette signature sioniste est ominiprésente dans l'affaire Epstein, n'en déplaise au chroniqueur Alexis Poulin (nouveau bateleur–enfumeur du Média de Denis Robert) qui, le samedi 18 janvier, a résumé sournoisement cette connexion israélienne à une simple "thèse" propagée par "l'escroc mythomane" israélien (Ari Ben Menashe).
Nouvelle illustration de la main-mise israélienne avec le flashback ci-dessous.
En 2008, les avocats d'Epstein négocient secrètement un accord avec le procureur fédéral de Floride Alex Acosta, futur ministre du Travail de Trump qui révéla, l'été dernier, avoir été incité dans un sens favorable au pédocriminel en raison de son appartenance au "renseignement" (curieusement, ce dernier élement d'info -pourtant fondamental- est quasiment passé sous silence par la presse française).
Deux mois juste avant l'audience-clé du tribunal, devinez où se rend Epstein ?
En Israël.
Pour y rencontrer officiellement "des scientifiques et des militaires"…
À noter : lors de son audience du plaider-coupable, Epstein utilisait les services en relations publiques d'un communicant ô combien spécifique – Howard Rubenstein, porte-parole du judéosioniste ultra Larry Silverstein et figure new-yorkaise étroitement liée à l'appareil d'État israélien.
Mieux encore : le 26 juillet, le prestigieux média juif-américain The Forward (qu'il sera difficile d'accuser de "complotisme antisémite") avait révélé une info éclairante mais incomplète sur le réseau d'individus qui avait permis à Epstein d'échapper à de longues années de prison.
Selon le journaliste Ari Feldman, Epstein avait effectué une donation d'un demi-million de dollars en février 2008 à une célèbre école juive orthodoxe de New York dans laquelle son avocat Jay Lefkowitz avait inscrit ses enfants.
Détail absent du papier : l'individu qui avait supervisé l'accord secret entre la justice américaine et l'équipe juridique d'Epstein est, lui aussi, intimement connecté à cette école réputée pour sa coopération intense avec Israël.
Ce personnage, juif orthodoxe et sioniste notoire depuis les années 90, était membre de l'Administration Bush.
Détail croustillant : outre ses liens avec les intégristes Loubavitch et le personnel politique israélien, ce juriste (qui, plus troublant, avait joué un rôle spécial dans l'obstruction des enquêtes policières relatives au 11-Septembre…) est également en relation, via son ami Rudy Giuliani (ex-maire de New York) et le sénateur cajolé par Israël Alfonse D'Amato, avec la mafia italienne.
Son visage apparaissait à la fin de la vidéo promotionnelle alternative (sous-titres disponibles) de mon ouvrage de 2013 sur l'implication d'Israël dans le 11-Septembre.
Et cerise sur le gâteau : son fils est l'un des avocats emblématiques d'un certain…Donald Trump.
Son nom ?
Il s'agit de…