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Tags « antisémites » à la Sorbonne : un local sous contrôle israélien

INFO PANAMZA. Le local prétendument vandalisé par des "antisémites" non identifiés est occupé par des étudiants liés à l'extrême droite israélienne et -plus troublant- à l'ancien propriétaire du Bataclan ainsi qu'à l'affaire Merah. Révélations.

Le 04.04.2018 à 23h13

Mardi 3 avril, Panamza annonçait de la sorte la publication d'un papier sensible: 

TAGS "ANTISÉMITES" À LA SORBONNE ? LES RÉVÉLATIONS DE PANAMZA

Demain, mercredi 4 avril, Panamza publiera un article spécial réservé aux abonnés et consacré à l'affaire dite des tags "antisémites" de la Sorbonne.

Mercredi 28 mars, quelques heures avant la marche blanche organisée par le Crif en mémoire de Mireille Knoll, l'Union des étudiants juifs de France avait annoncé que son local du site Tolbiac de l'université Paris 1-Sorbonne avait été saccagé et vandalisé dans la nuit.

De curieux messages anti-israéliens ("Palestine vaincra", "Vive Arafat", etc) -rapidement qualifiés d'antisémites par l'UEJF, le gouvernement et l'ensemble de la presse nationale- auraient été inscrits dans la nuit de mardi à mercredi par des inconnus jamais identifiés.

Panamza vous dévoilera ses informations inédites sur cette sombre affaire.

En attendant, n'hésitez pas à visionner le risible reportage réalisé sur le sujet par Baptiste des Monstiers, reporter de l'émission surencensée "Quotidien" de Yann Barthes (producteur de l'islamophobe Léa Salamé et admirateur du criminel de guerre Tony Blair) 
{https://www.facebook.com/uejfofficiel/videos/1455589554549496

http://www.panamza.com/310318-lea-salame-paul-sanfourche}.

À demain !

Nous y voilà.

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Si vous n'avez pas encore visionné la vidéo de "Quotidien", grossièrement mensongère (de par son amalgame antisionisme=antisémitisme) mais évidemment relayée par l'Union des étudians juifs de France et encensée par le préfet-collaborateur d'Israël Gilles Clavreul, prenez le temps de la savourer avant d'aller plus loin.

Mercredi 28 mars, durant la marche blanche, un certain BHL avait affiché son indignation à propos du "saccage".

Le soir, Sacha Ghozlan, patron de l'UEJF (et jeune homme à propos duquel Panamza avait révélé l'empressement à accuser sans preuve Dieudonné pour les prétendus tags antisémites de Marseille), était interviewé sur l'affaire par le complaisant Jean-Baptiste Boursier de BFM TV, média détenu par le milliardaire franco-israélien Patrick Drahi.

Le lendemain, ce fut au tour de la chaîne israélienne i24news (également possédée par Drahi…) de dérouler le tapis rouge à Ghozlan, responsable de l'association qui prétend gérer le local vandalisé et qui avait soutenu les bombardements israéliens sur Gaza en 2014.

Entretemps, Georges Haddad, président de l'Université (qui coopère sans rechigner avec Israël), a porté plainte pour ces tags qu'il présente -auprès du Charliste Guilllaume Erner de France Culture- comme "antisémites".

Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement supérieur, a publié un communiqué pour afficher son effroi le jour même, sans attendre les conclusions de l'enquête policière.

Mieux encore : moins de 24 heures après l'annonce (via Twitter) du saccage (mercredi 28 mars, vers 13h30), elle a reçu –jeudi 29 mars, à midi– Ghozlan dans son bureau.

Détail frappant : le tweet de la ministre engagée "contre la haine" contient une erreur.

Ou une contre-vérité…révélatrice.

Le local n'était plus…


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