Assa Traoré a longtemps collaboré avec le clan israélien
Adulée par l'extrême gauche mondaine dite "antiraciste", la militante Assa Traoré a travaillé plusieurs années pour une organisation liée à l'ambassade d'Israël. La preuve en vidéo.
Le 23.06.2020 à 15h33
Elle a joué un rôle-clé dans l'exploitation hexagonale (soutenue sans surprise par le gourou du CCIF Marwan Muhammad) de l'affaire (mystificatrice) Floyd.
Vedette de l'extrême gauche BCBG, Assa Traoré, soeur d'Adama Traoré (mort en juillet 2016), a une particularité singulière pour une militante engagée contre les violences policières : son profil bas envers les accointances israéliennes de son employeur principal.
Pendant plusieurs années (et jusqu'en décembre 2019), elle fut salariée comme éducatrice par la Fondation Opej-Baron Edmond de Rothschild ("Œuvre de protection des enfants juifs").
Pour saisir ce qu'est l'Opej, observez leur vidéo du gala de janvier 2016.
Financée par Benjamin de Rothschild (un mécène d'Israël installé près de l'Élysée et arrêté pour avoir agressé une policière), l'Opej – une partenaire de SOS Racisme qui affiche son communautarisme juif- s'autocongratule en présence, comme ce fut le cas lors du gala 2016, de l'ambassadrice israélienne.
Assa Traoré était d'ailleurs en Croatie -pour le compte de l'Opej – quand elle a appris la mort de son frère.
Pasionaria mettant en parallèle l'affaire Dreyfus et le décès de son frère, Assa Traoré -qui bénéficie d'un accueil médiatique systématiquement favorable- dénonce aisément "la France", elle qui collabora avec des soutiens notoires d'Israël (remerciés d'ailleurs dans son propre livre).
Ne comptez pas sur ses groupies pour relayer ces informations.
Bonus-Panamza : découvrez ci-dessous une vidéo rare la mettant en valeur au sein de l'Opej et en compagnie de l'ultra-sioniste maire islamophobe de Sarcelles François Pupponi.
La voici…