« Panamza Papers » : une décennie de révélations
Autopromotion. Panamza va réunir dans un livre l'intégralité des scoops, enquêtes et portraits publiés sur Internet par son fondateur Hicham Hamza, journaliste professionnel depuis dix années à ce jour.
Le 02.05.2018 à 21h33
27 avril 2008 : le site d'information satirique Bakchich, fondé par un ancien journaliste du Canard enchaîné et du Monde, avait mis en ligne mon premier article rémunéré et rédigé sur l'actualité.
Le sujet?
Israël? L'islamophobie? Le 11-Septembre?
Pas exactement : plutôt un reportage au musée de l'érotisme…
Dix années plus tard, bien après avoir sondé l'autocensure et la précarité inhérentes à l'exercice contemporain du métier de journaliste dans une rédaction traditionnelle, j'ai pu me libérer de la dépendance -faite de renoncements et de compromissions- envers ce secteur bunkérisé et archaïque, en fondant entretemps mon propre média : Panamza.
Merci à vous, lecteur ayant partagé ou fait connaître, au sens large, mon travail autour de vous.
Merci -tout particulièrement- à vous, abonné ou donateur, pour avoir contribué à justifier mon modèle économique, délié de toute forme de soumission au marché publicitaire et aux subventions publiques.
Merci, enfin, à toutes celles et tous ceux qui, depuis le début de cette aventure, m'ont adressé conseils, félicitations ou encouragements, notamment lors de mes épreuves (convalescence post-coma, diffamation en prime time, surveillance politico-policière, procès exorbitants ou délirants, menaces de mort, garde à vue).
Un journaliste ne peut espérer faire du bien sans s’attirer une bonne dose de haine
Henry James
Bonne nouvelle pour les fidèles et bienveillants lecteurs : l'ensemble de mes productions (plus de 3000 publications composées d'articles, billets et vidéos, soit 6 par semaine -en moyenne- depuis 10 ans) seront prochainement réunies dans un recueil édité uniquement en format papier.
Le double but : éviter l'écueil de la fragilité du web -de plus en plus censuré ou piraté- et faire taire les désinformateurs (généralement, des sympathisants de la cause sioniste et leurs idiots utiles de tous bords) qui dénigrent/diabolisent mon travail journalistique factuellement étayé en le présentant mensongèrement comme du "blogging complotiste/antisémite".
Je l'ai déjà écrit mais je le réaffirme ici : je crois en la pratique, ardue mais exaltante, d'un journalisme engagé et d'investigation.
Engagé, dans la grande tradition française qui avait cours jadis, notamment à la fin du XIXème siècle ou pendant la guerre d'Algérie.
D'investigation, car, plus que jamais, la propagande d'État -qui se traduit aujourd'hui par la lutte contre les prétendues "fake news" et la dite "cyberhaine"– nécessite de creuser, relier les points, démystifier et renverser, si besoin, les mythologies contemporaines.
En un mot : du journalisme "subversif", à savoir qui "bouscule l'ordre établi".
Un journaliste est d’abord un homme qui réussit à se faire lire
François Mauriac
Bref : contre vents et marées, mais avec le soutien ponctuel et chaleureux (voire la souscription permanente) d'un lectorat de plus en plus important (plus de 80 000 citoyens, au quotidien et via les réseaux sociaux), l'odyssée continue !
HICHAM HAMZA
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"Panamza Papers".
Les 200 premiers acquéreurs disposeront de l'offre spéciale de lancement : une tarification réduite à 50 euros (ouvrage dédicacé comportant plus de 3000 articles/billets + frais d'envoi inclus).