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Mort du comploteur et criminel israélien Rafi Eitan

Depuis l'annonce de sa mort, survenue samedi 23 mars, la presse française rend hommage au "maître espion" Rafi Eitan mais édulcore son lourd passif d'assassin de masse au service d'Israël.

Basé à Paris dans les années 60, il fut le chef de l'antenne européenne du Mossad : c'est ainsi qu'il supervisa l'élimination (en lien avec les services secrets marocains et des barbouzes français) de l'opposant tiers-mondiste Mehdi Ben Barka.

eitan

Rafi Eitan (à l'image avec Claude Guéant, serviteur du lobby sioniste et ancien ministre de l'Intérieur qui supervisa la désinformation de l'affaire Merah) ne fut pas seulement l'un des Israéliens à avoir enterré secrètement le corps torturé de Ben Barka dans une forêt de Saint-Germain.

Il n'est pas juste l'agent traitant de l'espion américain Jonathan Pollard ou le voleur d'uranium enrichi US de l'affaire Apollo.

Il n'est même pas simplement le prétendu héros (plus proche de l'imposteur) du kidnapping du nazi Adolf Eichmann, lui qui finira par soutenir l'extrême droite allemande et contemporaine de l'AFD.

Non : le principal exploit de la carrière longue et opaque d'Eitan est précisément le plus passé sous silence par la presse occidentale.

Son majeur fait d'armes concerne l'affariste du Mossad Robert Maxwell et s'avère directement lié au "succès" de l'opération israélienne du 11-Septembre…

En 1982, Eitan avait réussi…


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