Découvrez l’espionne israélienne derrière Palmade (2/8)
INFO PANAMZA. Soupçonné de liens avec la pédocriminalité, Pierre Palmade a cultivé une amitié exceptionnelle et intime avec une "sayan": une Française qui fut, de par ses activités mondaines, au service du Mossad -au point d'être récompensée par Shimon Peres et de devenir secrètement Israélienne. La preuve, documents inédits à l'appui.
Le 25.03.2023 à 23h52
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Elle a connu tout le gotha politico-culturel de la Vème République.
Pompidou, Chirac, Sarkozy mais aussi Rachida Dati et Anne Hidalgo ont tissé des liens d'amitié avec cette redoutable femme d'affaires devenue -provisoirement- multimillionnaire.
Repérée dans sa jeunesse par deux éminents rejetons de la famille Rothschild, elle a bénéficié de leur argent…en échange de ses informations grapillées dans son immense toile couvrant le monde du spectacle (musique, cinéma, théâtre, littérature) et de la sphère politique (de futurs chefs d'État jusqu'au conseiller ministériel).
Mieux encore : ses activités occultes d'espionnage au service d'Israël ont été dissimulées par son mécenat…au service -notamment- du Fonds social juif unifié, bastion piloté depuis l'après-guerre par…Rothschild.
L'un d'entre eux en particulier, Éric de Rothschild, sera le plus fidèle et dévoué à cette femme de l'ombre.
Et, sans surprise, elle fut décorée par Shimon Peres, alors Premier ministre d'israël, pour ses bons et loyaux services.
"Vous savez certainement ce que fait M. Pérès le jour. Moi, je sais ce qu'il fait la nuit.", disait de Gaulle à Ben Gourion.
Pour cause : Peres avait compris que l'élite française, pour être conquise ou soudoyée, devait être approchée, ou du moins observée, au moment le plus propice pour attiser sa vulnérabilité : la nuit.
C'est ainsi que…