Des employés de Notre-Dame dénoncent un complot : la presse aboie
Un politicien catholique-américain révèle une info stupéfiante sur l'incendie de Notre-Dame : les journalistes dits professionnels ricanent ou fulminent mais n'enquêtent pas. Décryptage.
Le 26.04.2019 à 20h41
Il fut un temps où la presse -qui osait s'engager- dénonçait les abus du pouvoir : aujourd'hui, elle les explique.
Il en va de même pour les conspirations authentiques : autrefois, elle les exposait; désormais, elle préfère tourner en dérision ceux qui les exposent.
Avant d'aller plus loin, flashback chronologique sur le dossier Panamza consacré à l'affaire Notre-Dame :
Notre-Dame s'embrase : Al-Aqsa prend feu (16.04.19)
Notre-Dame : un Israélien arrêté par la police (16.04.19)
Division des neuneus anticomplotistes : l'effet Notre-Dame (17.04.19)
Notre-Dame était « sécurisée » par un franc-maçon (17.04.19)
Rions de Jésus et d'Israël avec Julien Dray (18.04.19)
Notre-Dame : le chef des pompiers est issu de Tsahal (18.04.19)
Notre-Dame : les tours étaient « exceptionnellement » fermées (19.04.19)
Un "touriste russe" arrêté à la cathédrale de Strasbourg (20.04.19)
Il avait « prédit » Notre-Dame : Rubenstein annonce un attentat imminent (20.04.19)
Notre-Dame : la couronne de Jésus recueillie par une financière de Tsahal (21.04.19)
Un « court-circuit » à Notre-Dame ? La charpente n’était pas électrifiée (22.04.19)
Fermeture « exceptionnelle » des tours de Notre-Dame juste avant l'incendie: Panamza provoque de nouvelles révélations (23.04.19)
Trump annonça la destruction totale de Notre-Dame depuis Burnsville (25.04.19)
Notre-Dame : 7 témoins ont entendu une « forte explosion » (25.04.19)
Lundi 15 avril, à 19h20 heure française (soit une heure après le déclenchement du sinistre et avant la chute de la flèche), Christopher Jolly Hale, politicien américain du Tennessee lié au Parti démocrate, formé par les Jésuites et engagé dans le communautarisme catholique (au point d'avoir co-fondé un magazine sur sa foi), a fait connaître -via Twitter- une information édifiante : "Un ami jésuite à Paris qui travaille à Notre-Dame m'a dit que le personnel de la cathédrale affirme que l'incendie est intentionnel".
Réaction dans la presse : le ricanement doublé d'une propension rageuse à la caricature réductrice.
Illustration avec les insipides Samuel Laurent et Anne-Elisabeth Lemoine, assis à côté d'un Jacques Attali visiblement ravi (passage sur le sujet de 0'20 à 0'56) :
Dans la droite ligne du désinformateur sioniste Rudy Reichstadt, Le Parisien, Radio Canada, The Daily Beast, Yahoo News ont également déploré la publication et la propagation massive de ce tweet qui fut supprimé dans l'heure suivante par son auteur finalement embarrassé par son succès…au point de déclarer –le lendemain, au site FactCheck– que ni lui ni son "ami jésuite" (qu'il ne veut PAS identifier) ne "croient qu'il peut s'agir d'autre chose qu'un accident".
AUCUN média traditionnel n'a insisté pour obtenir le nom de cet informateur jésuite auprès de Christopher Hale ou -au moins- tenté de vérifier son existence en sollicitant la direction de Notre-Dame. Le site officiel de la cathédrale ne détaille pas les différents personnels : seule l'identité des 10 prêtres est déclinée.
L'un d’eux –le père Michel Simmonet, aumônier de la Garde républicaine et absent au moment des faits- a bien une formation jésuite mais rien ne permet d’affirmer qu'il s'agit de "l'ami" de l'Américain Hale.
Précision-clé : cet ami n'est pas celui qui affirme que le feu a été volontaire. Il rapporte ce que des membres du personnel (staff) lui ont déclaré.
Pour conclure, 3 hypothèses sont envisageables :
– Hale est un affabulateur qui tenta une manoeuvre politique (mais alors pourquoi retirer son tweet qui n'accuse d’ailleurs aucun groupe en particulier ?)
– Son ami est un affabulateur (mais quel intérêt à mentir à Hale dans une conversation privée? )
– Hale et son ami sont fiables : des employés ont bien affirmé que le feu (initié dans la charpente, une zone alors accessible uniquement à certains membres de Notre-Dame et aux cadres du Centre des monuments nationaux) était délibéré.
Dans le dernier cas, un troublant constat émerge : soit ces employés n'osent pas s'exprimer aux médias (de peur des représailles en interne…) soit les médias mainstream ayant recueilli ces témoignages les ont passé sous silence.
Ne comptez guère sur ce qu'il convient dorénavant d'appeller la "presse institutionnelle" pour connaître la vérité sur Notre-Dame : amplifié par l'AFP (agence de désinformation sous contrôle étatique/surveillance du Crif), le pseudo-scoop du Canard enchaîné (journal sous contrôle sioniste) du mercredi 24 avril (faisant état de simples failles de sécurité) détourne habilement l'attention de la piste criminelle.
Et soyez-en assuré : il faudra probablement compter sur des témoignages spontanés (directement publiés sur les réseaux sociaux) ou recueillis par les divers médias du web véritablement indépendants -tel Panamza- pour découvrir l'envers du décor planté par un Emmanuel Macron galvanisé et souriant…
À suivre…