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Accusé d’agression sexuelle, Haziza dîne à l’Élysée

Impunité totale pour la Françisraël. Découvrez en vidéo le traitement de faveur accordé par les autorités à Frédéric Haziza, agent médiatique de la cause judéosioniste qui bénéficia d'un simple "rappel à la loi" pour son agression sexuelle d'une journaliste.

Le 28.01.2019 à 21h53

Marlène Schiappa avait-elle piscine ? 

Ou était-elle absorbée par la préparation de sa grande émission-circus avec Cyril Hanouna ? 

La secrétaire d'État en charge de l'égalité femmes hommes -qui avait déjà déroulé le tapis rouge à Raphaël Enthoven, pitre pseudo-philosophique et défenseur de Frédéric Haziza– n'a pas commenté sur son prolifique fil Twitter la singulière présence d'un homme accusé de violences sexuelles (une agression et plusieurs harcèlements) à la table de l'Élysée.

 

Mercredi 23 janvier, Frédéric Haziza, extrémiste judéosioniste qui fut longtemps salarié par le service public audiovisuel (en dépit de sa médiocrité sur le plan de l'interview politique), était invité à l'Élysée à l'occasion de la célébration des 70 ans de l'obscure et toxique amitié France-Israël.







Était présent à la soirée élyséenne du 23 janvier le banquier David de Rothschild, milliardaire, président d'honneur de la Fondation France-Israël et ancien employeur d'Emmanuel Macron (à gauche de l'image, assis à droite de Richard Ferrand, président malléable de l'Assemblée nationale).

 

 




Le sexagénaire Frédéric Haziza -qui a bénéficié d'un simple "rappel à la loi" à la suite d'une plainte pour agression sexuelle (déposée par une jeune journaliste toujours indignée par son traitement judiciaire de faveur)- n'a pas manqué de se mettre en scène sur Twitter en montrant des scènes édifiantes telle celle de la Garde républicaine interprétant des chants juifs et patriotiques israéliens sous les dorures du palais présidentiel. Tout un symbole…

 

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