Carnage du 13-Novembre : Valls venait de réorganiser les secours
INFO PANAMZA. La veille des attentats de Paris, le Premier ministre Manuel Valls avait étrangement modifié la prise en charge des victimes de terrorisme en cas d'attentat de masse. La preuve par les sources.
Le 09.10.2019 à 22h33
Je suis heureux d'être au-dessus.
Et j'ai volé, volé heureux
Je me trouve plus grand
Plus grand que le soleil
Alors que le monde disparaissait lentement
Loin vers le bas.
Une musique douce joue
Seulement pour moi.
Volare, Gipsy Kings
À la tête du pays lors des mystérieux attentats de 2015, Manuel Valls est aujourd'hui un homme visiblement heureux comme en témoigne son récent mariage cossu avec une figure éminente -selon la presse locale- du "lobby juif de Catalogne".
Des nouvelles de Manuel Valls. Il va bien.pic.twitter.com/mxF3lZxogn
— Ronan Planchon (@RonanPla) September 15, 2019
Quant à son ancien ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, il distille l'idée de son éventuelle candidature aux élections présidentielles de 2022 – à la faveur de sondages fortuitement favorables…
Et pour émouvoir l'opinion publique, le voilà qui fend l'armure à travers son livre-témoignage sorti ce mercredi 9 octobre et consacré à son expérience place Beauvau durant les attentats.
Surprise, surprise : Cazeneuve y édulcore son prétendu pressentiment du 13-Novembre.
Souvenez-vous : le 16 novembre 2016, Panamza rapportait un passage troublant d'une enquête journalistique faisant état de sa stupéfiante déclaration auprès du préfet de police, quelques heures avant les attaques du Stade de France et du Bataclan.
Selon le journaliste du Point François Malye, Cazeneuve avait déclaré redouter un attentat imminent faisant "130 morts". Soit le chiffre exact de victimes mortellement fauchées ce soir-là.
Le rappel détaillé (fin 2018) de cette déclaration sur Panamza et sa contextualisation m'ont d'ailleurs valu une plainte en diffamation (passée sous silence dans la presse traditionnelle) par Cazeneuve lui-même.
L'ancien Premier ministre rejoint ainsi son ami Ariel Goldmann et le judéofasciste Sam Ghozlan qui m'ont également attaqué en raison de mon enquête sur les attentats de Paris.
Vous avez bien lu : sous prétexte de mon travail journalistique sourcé sur le 13-Novembre, un ancien Premier ministre, le patron du lobby israélien hexagonal et un ex-commissaire de police m'ont intenté -entre 2017 et 2019- un procès.
Trois ans plus tôt, en février 2016, je faisais l'objet d'une abusive détention en garde à vue qui fut ouvertement commanditée par le gouvernement Valls -sous prétexte de ma divulgation de l'origine israélienne de la photo-choc-et-bidon du Bataclan.
Aujourd'hui, mercredi 9 octobre 2019, près de 4 ans après le carnage du 13-Novembre, un nouvel élément d'information émerge…à la faveur d'une interview politique diffusée le 3 octobre sur Canal+.
Avant d'aller plus loin sur l'info du jour qui implique directement l'ultrasioniste décomplexé Manuel Valls et sa préconnaissance des attentats, un long mais nécessaire retour sur les précédentes révélations de Panamza s'impose en préambule.
Le 15 novembre 2015, deux jours après les attentats qui ont ensanglanté Paris, Panamza rapportait la troublante révélation -parue la veille- d'un quotidien israélien :
Vendredi matin, les responsables de la sécurité au sein de la communauté juive auraient appris "l'imminence d'une large attaque terroriste" selon The Times of Israël. L'auteur de cette confidence : le bien informé Jonathan Simon-Sellem (alias JSS), extrémiste franco-israélien de la cause sioniste et grand ami de Meyer Habib.
Le 18 novembre 2015, Panamza signalait l'altération de l'article paru dans la presse israélienne. La mention initiale et précise de "vendredi matin", moment de l'avertissement, a été remplacée par une expression édulcorant l'information originelle : "pendant des mois".
Le 19 novembre 2015, Panamza identifiait le principal "officiel" chargé en France de la "sécurité de la communauté juive" : le baron multimillionnaire Éric de Rothschild, un promoteur de Caroline "Sayan" Fourest et militant au niveau mondial (à l'instar de son cousin milliardaire David de Rothschild) du communautarisme judéosioniste.
Le 22 février 2016, je fus -fondateur de Panamza- placé en garde à vue en représailles de ma démonstration -jamais réfutée sur le fond par les innombrables chiens de garde d'une presse sous contrôle sioniste– de l'origine israélienne de la photo-choc-et-bidon du Bataclan.
Le 23 juin 2016, Panamza soulignait la libération-surprise de Lazez Abraimi, présumé complice de Salah Abdeslam qui avait reçu un étrange message vocal sur son smartphone : "Le juif n'est pas là".
Le 10 novembre 2016, Panamza révélait l'origine des photos inédites d'un terroriste du Bataclan : le Memri, officine de propagande dirigée par un haut-gradé du Mossad (puissants services secrets israéliens qui détiennent le record mondial d'assassinats) et favorable à une certaine…Caroline Fourest (dont le film –sorti aujourd'hui au cinéma– est produit par deux frères israéliens liés à l'extrême droite locale).
Le 19 novembre 2016, Panamza indiquait la spécificité troublante de l'agent du chanteur mythomane du Bataclan, salle possédée par une famille engagée -depuis les années 80- auprès de l'armée israélienne : il s'agit d'Ari Emanuel, fils du terroriste israélien Benjamin Emmanuel.
Le 18 novembre 2017, Panamza identifiait –en exclusivité pour ses abonnés– "l'experte en sécurité" (prénommé Tali et rémunérée par des "officiels juifs" en contact direct avec le patron du Mossad) qui avait diffusé des sms d'alerte juste avant les attentats du 13 novembre.
Le 23 novembre 2018, Panamza désignait précisément le leader communautaire juif qui s'avère être le supérieur hiérarchique de Tali et l'ami de 30 ans de Bernard Cazeneuve, ministre socialiste de l'Intérieur (complaisant avec l'extrême droite israélienne) qui avait annoncé -détail diabolique- un acte terroriste causant exactement "130 morts" QUELQUES HEURES AVANT les attentats survenus au soir du 13 novembre 2015.
Le 21 décembre 2018, Panamza exposait, à partir d'un nouvel élément d'information paru fortuitement dans la presse étrangère, une pièce manquante au puzzle du 13-Novembre, l'événement terroriste simulé –au détail près– la veille et le jour même.
La source des avertissements portés à la connaissance de plusieurs dirigeants juifs français (qui l'ont ensuite relayé par sms au sein de la communauté) ET du gouvernement Valls (via Cazeneuve) était bel et bien le Mossad, l'organisation prétendument lancée à la traque (depuis 2013) d'Abaaoud (pseudo-"cerveau" des attentats) et dirigée alors par Tamir Pardo, un homme qui assume aujourd'hui l'aspect "fun" et "criminel" de ses fonctions passées…
Le 18 décembre 2018, un quotidien israélien dénommé The Times of Israel rapportait (à partir d'une divulgation diffusée par la radio publique Kan) l'implication directe (mais "diplomatiquement sensible") du Mossad pour sécuriser les communautés juives à travers le monde.
En résumé ?
Récemment éclaboussé par le scandale (occulté par la presse audiovisuelle française) de l'agent de la DGSI au service d'Israël, le SPCJ ("service de protection de la communauté juive", basé dans les locaux du Fonds social juif unifié), en liaison directe avec le Mossad et trahi par Jonathan-Simon Sellem (le fou furieux sioniste à l'origine de la révélation israélienne faisant état d'officiels juifs avertis du 13-Novembre), est chapeauté par 3 individus :
* son "président" Éric de Rothschild.
* sa "directrice" Tali.
* son "porte-parole" Ariel Goldmann, ami intime de Cazeneuve -l'agent zélé de l'obscur tandem Hollande/Valls en charge de la police qui a donc su en avance…
Reste à savoir qui savait quoi exactement. Quand ? Et comment, précisément.
Qu'en est-il de Valls ?
Jeudi 3 octobre, Canal+ a diffusé un entretien complaisant de l'ex-ministre de la Justice Christiane Taubira (qui sort aussi un livre de souvenirs) par le faux-cool et vrai censeur Mouloud Achour.
De la 13ème à la 20ème minute, la nuit chaotique du 13-Novembre est abordée.
À la 17ème minute, Taubira révèle incidemment avoir "signé une circulaire pour la prise en charge des victimes en cas d'attentat et de nombre important des victimes, le 12 novembre" 2015.
"La veille", souligne-t-elle devant un Achour qui n'en finit pas d'être sidéré quand Taubira enfonce étrangement le clou en rapportant l'info (divulguée 5 jours après les attentats par Panamza) selon laquelle il y avait eu une simulation -incroyablement similaire– des attentats au matin même (un exercice qui fut "commandé par le gouvernement" selon l'ex-Garde des Sceaux).
Panamza a vérifié l'assertion de Taubira : le 12 novembre 2015, à la faveur d'un colloque gouvernemental consacré à "la prévention de la radicalisation", le Premier ministre Manuel Valls a bien édicté une "instruction interministérielle relative à la prise en charge des victimes d'actes de terrorisme".
Son but explicite : réorganiser les secours en cas d'attentat de masse.
Son objet principal : la création d'une nouvelle organisation -dénommée "Cellule interministérielle d’aide aux victimes" (CIAV)- qui prendra effectivement en charge (dès le lendemain…) la gestion de l'identification, de l'assistance et du fichage des morts et blessés du 13-Novembre.
Le 7 mars 2016, même le député Georges Fenech, président de la commission d'enquête parlementaire sur les attentats (et chantre d'Israël qui s'avère très proche du clan sioniste), avait exprimé son étonnement sur cette "concomitance" auprès du patron de la CIAV auditionné.
Pris de manière isolée, cet élément d'information pourrait s'apparenter à une simple coïncidence.
Mais au regard des nombreuses anomalies rapportées plus haut (des "officiels juifs" en lien avec le Mossad avertis, une simulation hospitalière le matin, une simulation du RAID la veille, la prédiction exacte de Cazeneuve dans l'après-midi même, etc), le doute -sinon l'effroi- est permis.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
Contact : [email protected]
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