Porno, coke et champagne : quand Juan Branco divertit Fly Rider
Imposture. Découvrez comment le pseudo-opposant à l'oligarchie Juan Branco finance un ex-associé du milliardaire Bernard Arnault et du pédocriminel Jeffrey Epstein.
Le 20.11.2019 à 16h57
Après la chanteuse Mennel, c'est au tour du Gilet jaune Maxime Nicolle, alias Fly Rider, de présenter platement ses excuses pour son prétendu "complotisme".
La scène ridicule s'est déroulée lundi 18 novembre, en toute fin de l'émission Les Grandes Gueules de RMC, sous le regard de l'ultrasioniste (sans doute ravi par cette contrition) Gilles-William Goldnadel.
Durant le débat, on peut d'ailleurs remarquer son avocat et ami Juan Branco le retenir -comme un tuteur- par le bras (à 10'50) quand Nicolle tente confusément (de 8' à 11') de justifier sa critique passée (et pourtant légitime) de la version officielle relative aux attentats de Strasbourg et Nice.
Venu faire la promotion de son livre (co-écrit avec une ex-macroniste de la première heure…), Nicolle (aujourd'hui salarié par la web-tv inoffensive d'Aude Lancelin) a livré dans son récit un souvenir éclairant de sa relation avec le mythomane Branco.
On y découvre l'imposteur en chef du mouvement Gilets jaunes l'entraînant dans un lieu singulier de Paris qui s'avère possédé par un ancien associé du milliardaire Bernard Arnault (bête noire obsessionnelle de Branco) et, détail méconnu, ex-partenaire en France du pédocriminel lié au Mossad Jeffrey Epstein.
Voici, ci-dessous, la preuve en image suivie des détails et de la source précise de cette expérience partagée début février…