Fourest claque 5 millions d’euros : son film rapporte 11 fois moins
INFO PANAMZA. Produit par 2 Israéliens proches de l'extrême droite locale, le film de Caroline Fourest est un monumental échec critique et commercial. La preuve par les sources.
Le 05.12.2019 à 14h33
Au regard de la justice française, il est interdit de qualifier l'islamophobe Caroline Fourest de "désinformatrice" sous peine d'être condamné -comme ce fut mon cas- pour "diffamation".
En sera-t-il de même pour l'expression "artiste ratée"?
Flashback.
Le 6 octobre, Panamza révélait, sources à l'appui, l'élément d'information suivant -évidemment passé sous silence, non seulement par la presse-traditionnelle-sous-contrôle-sioniste mais également par l'aboyeuse-mais-inoffensive mouvance islamogauchiste : "deux producteurs israéliens du "film de guerre féministe" de Caroline Fourest sont intimement liés à Miri Regev, ministre israélienne de la Culture issue de l'extrême droite."
Le 9 octobre, jour de sortie du film, Panamza était le premier média à souligner le jugement incroyablement sévère de la quasi-unanimité des critiques de presse -en dépit du soutien public de BHL et Anne Sinclair.
Deux jours plus tard, Panamza exposait la manipulation (toujours en cours) des notations -gonflées par des comptes à peine crées- des critiques du public sur Allociné.
Aujourd'hui, jeudi 5 décembre, le bilan est catastrophique pour la bande à Fourest (tous ceux ayant soutenu son projet cinématographique : en clair, toute la mouvance sioniste, para-maçonnique, anti-islam et pseudo-laïque qui la finance et la sponsorise depuis les années 2000).
Jusqu'au sinistre réalisateur Éric Rochant, promoteur du Mossad dans son film "Les patriotes".
Le navet de Fourest a coûté 5,6 millions d'euros : deux mois après sa sortie, il a rapporté –selon ce site de professionnels du cinéma– la somme de 536 522 dollars -soit 483 465 euros.
Faites le calcul : les recettes du film équivalent donc à 8,63% du budget (auquel a participé -avec VOTRE argent- la chaîne publique France 2).
Soit environ 11 fois moins.
Dieu merci, son coach judéosioniste BHL l'a déjà consolé en éditant (chez sa maison Grasset) son prochain livre consacré –sans rire– à dénoncer "la police de la pensée".
Espérons pour elle que la récente promotion de son film par la télévision israélienne –si, si– via l'imposteur de l'antiracisme Elie Chouraqui donnera du baume au coeur de Fourest.
Bonus : mise en ligne en 2015 sur Youtube, cette vidéo de Panamza consacrée aux mensonges de Fourest avait été rapidement supprimée à la demande du groupe Lagardère, propriétaire d'Europe 1.
La voici.