Epstein, agent du Mossad à Paris : une affaire étouffée
100 jours d'omerta : effectuée le 24 septembre, la perquisition de la vaste demeure parisienne de l'espion-pédocriminel n'a fait l'objet d'AUCUN reportage dans la presse française. À l'inverse, les médias américains avaient divulgué -deux jours après- le résultat des perquisitions de son domicile new-yorkais.
Le 16.01.2020 à 17h10
S'il fallait une seule illustration de l'imposture fondamentale des médias hexagonaux (qui prétendent vous rapporter les faits d'intérêt public et incarner une "presse libre"), la voici : plus de 100 jours après la spectaculaire perquistion de la vaste demeure parisienne de Jeffrey Epstein (co-acquise, comme l'avait révélé Panamza, avec le mystérieux Darren Indyke), AUCUN organe hexagonal de la presse écrite et audiovisuelle n'a relaté ce qui a été découvert.
Rendez-vous compte : plus de 38 000 journalistes en France, une variété subventionnée de médias nationaux de tous bords politiques, des journaux et des sites se vantant de faire du journalisme d'enquête sans tabou et pourtant, un constat effarant s'impose.
Pas le moindre article/reportage sur ce que les policiers ont découvert au 22, avenue Foch.
Nulle surprise, en réalité, au regard du coeur nucléaire de l'affaire Epstein : l'instrumentalisation de la pédocriminalité des puissants par les services secrets israéliens.
S'il fallait une seule démonstration du contrôle sioniste de la direction des médias français, la voilà.
On ne touche pas à l'affaire Epstein : faisons mine de l'aborder succintement pour rassurer l'opinion publique, exposons un bouc émissaire (Jean-Luc Brunel) mais ne la creusons surtout pas car elle embarrasserait considérablement, in fine, nos amis/mentors du lobby sioniste.
Cette stratégie délibérée est la seule explication du silence assourdissant du seul pays, avec les Etats-Unis, dans lequel Epstein s'était partiellement et longuement installé (2002 à 2019).
Elle éclaire également l'omerta médiatique en France sur la révélation recoupée de 3 journalistes étrangers (US, Australie, Israël) qui ont chacun rapporté des témoignages faisant état de la fonction secrète d'Epstein depuis les années 80 : compromettre des personnalités filmées à travers leurs penchants sexuels et transmettre les vidéos récoltées au renseignement israélien (mais également russe) afin d'obtenir -par le chantage– leur totale soumission.
Est-ce cette méthode qui explique le zèle judéosioniste parfois démesuré de certains dirigeants et leaders d'opinion français depuis -au moins- une vingtaine d'années ?
Voire les failles et omissions dans les enquêtes judiciaires et/ou médiatiques sur l'étrange séquence terroriste survenue de 2012 à 2016, depuis l'affaire Merah au carnage de Nice en passant par la mystification Charlie/Hyper Cacher et l'opération Bataclan ?
Toujours est-il que l'ensemble de la presse américaine, pourtant engagée en faveur d'Israël de manière souvent caricaturale, n'a pas hésité à rapporter –grâce à la collaboration du juge local– les premières pièces troublantes du puzzle Epstein : la découverte (lors de la la perquisition new-yorkaise du 6 juillet) d'un système sophistiqué de vidéosurveillance et de CD-ROMS contenant des images de jeunes femmes nues avec des hommes. Même trouvaille sur son île de St James et dans sa demeure de Floride.
En France : rien n'a fuité.
Nous ne savons toujours pas ce qui a été retrouvé dans les 5 appartements et 2 caves de l'avenue Foch, situés à deux pas seulement ("un pur hasard", diront les théoriciens-neuneus de la coïncidence) de la résidence privée de l'ambassadeur d'Israël en France.
Le citoyen français est pourtant en droit d'exiger de ses représentants politiques (dont certains fréquentèrent le pédocriminel) -comme de la presse qu'il subventionne- toute la vérité sur l'affaire Epstein et son volet hexagonal.
Ne comptez pas sur les médias mainstream.
Ni sur les associations de protection de l'enfance subtilement inflitrées ni sur la pseudo-dissidence soumise à l'axe Trump-Poutine.
Comptez sur le seul média d'enquête hexagonal menacé –judiciairement– par une proche d'Epstein : comptez sur Panamza.