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Le resto parisien du clan Epstein roule pour Israël

INFO PANAMZA. Jean-Luc Brunel, complice français de Jeffrey Epstein, avait ouvert un restaurant situé près du domicile du pédocriminel américain et lié à l'ambassade d'Israël. La preuve par les sources.

Le 29.07.2019 à 18h22

Dans un monde médiatique digne de ce nom et cohérent, divers organes de presse français auraient normalement affecté plusieurs membres de leurs rédactions pour enquêter et démêler l'incroyable réseau sophistiqué, opaque, complexe qui fut tissé -en trois décennies- par Jeffrey Epstein, multimillionnaire et trafiquant sexuel basé entre New-York, la Floride et Paris.

La pathétique réalité hexagonale : des reportages insipides sur la canicule, les hôtesses du Tour de France, les vacances du président Macron et les homards de François de Rugy.

La faute au timing estival, propice -diront certains- à une certaine paresse journalistique ? 

Foutaises : souvenez-vous seulement du tohu-bohu de l'affaire Benalla, déclenchée fin juillet 2018.

En clair : la presse française a -délibérément et unanimement- décidé de NE PAS traiter en profondeur l'affaire Epstein -dont les ramifications locales sont pourtant évidentes.

Reste à savoir pourquoi.

Peut-être faut-il chercher du côté des liens occultes d'Epstein avec certains dirigeants de médias (tels –surprise, surprise– le baron franco-israélien Edouard de Rothschild, ex-propriétaire de Libération et Patrick de Baecque, ex-responsable du Figaro et du Monde)….

 

Aujourd'hui, Panamza vous propose un focus sur un lien amical particulièrement mystérieux de Jeffrey Epstein, ce richissime sexagénaire (aux nombreuses connexions sionistes, israéliennes et communautaristes) muni d'un système secret de vidéosurveillance dans ses demeures et doté -depuis 2002- d'une cossue résidence parisienne située à 5 minutes seulement de la résidence privée de l'ambassadeur israélien.

Il s'agit du Français Jean-Luc Brunel, ex-chasseur de mannequins (entre Miami et Tel Aviv) qui fut notamment accusé d'envoyer (via des visas facilement obtenus auprès du gouvernement américain…) des filles mineures du monde entier (parmi lesquelles des Françaises) à son camarade de longue date et financier dans un double but : satisfaire son appétit sexuel et servir d’appât à diverses personnalités gravitant autour d’Epstein.

Basé -au milieu des années 90- dans la fameuse Trump Tower de New-York (possédée par Donald Trump, alors proche et admiratif -depuis 1987- d'Epstein), le globe-trotter accusé de pédophilie Brunel –qui tente aujourd'hui de nier son lien ancien et intime avec Epstein– a une spécificité : il est l'un des rares à avoir visité Epstein en prison comme en atteste ce document déniché par Panamza, issu de l'administration carcérale de Floride et révélé initialement (en juillet 2009) par le détective privé Jose Lambiet.

jlb

Détail utile pour toute future enquête sur les connexions françaises d'Epstein : Brunel possédait -depuis 1988- un restaurant chic très prisé par le gotha culturo-mondain, situé exactement à 350 mètres du domicile parisien d'Epstein (et à 550 mètres de la résidence de l'ambassadeur israélien…).

JLBJE

Cet établissement a changé de gérant en 2004 mais un fil rouge perdure : la connexion israélienne. 

De même que Brunel avait domicilié sa compagnie de mannequins à Tel Aviv, le nouveau patron du restaurant, lié d'amitié avec le fou furieux judéosioniste Gil Taieb, coopère étroitement et discrètement avec l'ambassade israélienne. 

Et ce restaurateur -cerise sur le gâteau- propose à ses clients d'utiliser le parking de la demeure…d'Epstein.

Le nom du restaurant et sa famille en charge depuis 15 ans :…


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