Affaire Rothschild : la Sorbonne me dénonce à la police
Journaliste indépendant et fondateur du site d'investigation Panamza, j'ai été auditionné par la police, suite à un signalement de la Sorbonne. Ma prétendue infraction : avoir exposé dans un tweet les liens d'un universitaire en charge de la "mémoire" du 13-Novembre avec Éric de Rothschild, le multimillionnaire pro-israélien qui fut prévenu de l'imminence des attentats.
Le 29.09.2021 à 21h12
Au coeur du tabou français : l'influence secrète -en toute impunité- du lobby sioniste dans les coulisses de la vie politique, judiciaire, policière, universitaire et culturelle.
Dimanche 22 août, je rapportais avoir été entendu –pour la 9ème fois dans ma carrière– par la police.
L'objet de l'audition : une plainte déposée à mon encontre par la sous-préfète vallsiste Cindy Leoni et un "signalement" effectué par la Sorbonne au sujet de l'un de mes tweets.
Plus exactement : Michel Terré, président de l'HESAM (Hautes Écoles Sorbonne Arts et Métiers Université) et proche du réseau sioniste (via notamment son étroite coopération avec la Paris School of Business de l'ultra-sioniste Frédéric Encel), s'est fendu en personne d'une lettre à son ministre de tutelle tout en déposant un signalement au commissariat de son secteur.
Mon prétendu tort : m'être rendu coupable de "provocation publique à la haine raciale" (si, si) en ayant factuellement exposé -via un tweet publié le 2 mars et relatif au projet du "Musée-mémorial du terrorisme"– la connexion du très communautaire Denis Peschanski, fils de Dora Kronfeld et membre de l'HESAM (en charge d'un travail de collecte de témoignages du 13-Novembre), avec Éric de Rothschild, figure tutélaire de Mémorial de la Shoah qui s'avère être l'un de ces "officiels juifs" (selon les termes employés par le quotidien israélien Haaretz) à avoir été informés (via un canal reliant son groupe dénommé SPCJ et le Mossad) de l'imminence du carnage du Bataclan.
À propos de Peschanski : j'avais déjà évoqué son cas en 2016. J'avais notamment révelé comment ce compagnon de route du Parti socialiste et membre du CNRS affecté à la "mémoire" du 13-Novembre (en tandem avec son complice omniprésent de longue date Francis Eustache) était un fervent admirateur du criminel de guerre israélien David Ben Gourion.
Pour rappel : le sujet totalement occulté par la presse traditionnelle et visiblement tabou de la pré-connaissance des attentats du 13-Novembre me vaut à ce jour 2 procès intentés par l'obscur ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve et l'obsessionnel mais influent Ariel Goldmann, patron du lobby juif hexagonal (en lien direct avec le Mossad).
Bref.
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HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'enquête depuis 2008
Contact : [email protected]