Accusé de satanisme, le CERN nomme un Israélien à sa tête
Installée à la frontière franco-suisse, l'institution scientifique CERN -qui fut la scène en 2016 d'un étrange rituel satanique- a désigné comme président un Israélien longtemps promu par le gouvernement Netanyahou.
Le 29.09.2021 à 16h47
Souvenez-vous.
En 2016, les journalopes se moquaient alors des "complotistes" qui furent inquiets ou sidérés par une vidéo troublante : filmé dans l'enceinte du CERN (établissement qui avait promu le concept de "la partcule de Dieu"), un sacrifice humain était mis en scène aux abords d'une statue de la déesse de la destruction Shiva.
Evidemment, aucune enquête journalistique ne fut ensuite produite pour comprendre l'origine de cet incident et le démystifier.
Dédié –entre autres projets– à la production de trous noirs microscopiques et partiellement contrôlé depuis longtemps par des scientifiques israéliens jusqu'alors discrets, le CERN ("Centre européen de recherche nucléaire" initié par le Français Louis de Broglie) a nommé vendredi 24 septembre un président singulier à sa tête : le physicien israélien Eliezer Rabinovich.
Sa particularité ?
Rabinovich a fait partie du pack "diplomatique" d'Israël (via le ministre Liberman, personnage-clé de l'affaire Charlie Hebdo) dans sa volonté d'intégrer le CERN en 2014 (1er pays à avoir eu cette faveur depuis 1999).
En clair : il fut l'outil du gouvernement israélien pour infiltrer et contrôler davantage le CERN, organisme (redouté par certains) pour ses expériences inédites dans l'exploration de "dimensions parallèles".
Rappel : Israël est également à l'avant-garde de l'exploration et du contrôle narratif de la problématique (croissante dans le débat public) sur les intelligences extra-terrestres…
Bonus