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Affaire Griveaux : Panamza expose 2 complices, ils retirent leurs posts Facebook

Zoé Sagan, autrice qui avait diffusé -grâce à Branco- les vidéos X de Griveaux, a supprimé son post Facebook une heure après son signalement en ligne par Panamza. Même autocensure chez Yann Merlin. Révélations.

Le 19.02.2020 à 16h38

Lundi 17 février, à 17h08, Panamza publiait un article sur la sombre affaire Griveaux dans lequel figure le post Facebook (avec le lien URL daté du 12 février) de Zoé Sagan (évoquée –entre autres– par Numerama) affirmant avoir reçu le "lien" renvoyant à la sextape de Griveaux de la part de l'avocat Juan Branco.

 

 

À 17h57, sur Twitter, je diffusais l'article en le signalant à Sagan elle-même.

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Une heure après, un internaute faisait remarquer (à 19h05) que le post Facebook de Sagan (que j'avais pu insérer dans l'article) avait disparu entretemps.

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Même auto-censure pour Yann Merlin (barbu et crâne dégarni), le photographe proche de Pavlesnki (et co-auteur sur le site Porno poltique).

J'avais signalé (et je fus le seul, lien URL à l'appui) son post Facebook (publié une heure avant Sagan) renvoyant aux vidéox X : l'homme (également alerté par mon tweet) l'a depuis supprimé lundi soir ou mardi.

Mieux : Merlin a carrément désactivé son compte.

Sagan et Merlin tentent ainsi de dissimuler leur participation à la diffusion illégale -et en amont- des vidéos.

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Mais ce n'est pas tout : le post de Sagan désignait clairement Branco comme l'expéditeur à son endroit des vidéos -avant le déclenchement médiatique de l'affaire.

Or, souvenez-vous : dans son rôle de prétendu avocat de Pavlenski, Branco avait affirmé sur BFM TV n'avoir jamais "relayé" ces vidéos -ce qui était un mensonge, comme l'avait démontré aussitôt Panamza.

Un mensonge martelé, via son compte Twitter.

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En clair : par la censure de son post, Sagan tente aussi de cacher l'implication de Branco dans la diffusion illégale des vidéos.

À noter : observez Didier Maïsto, ami de Branco et employé du milliardaire raciste Christian Latouche, défendre l'avocat en le présentant (à partir de 25') comme un homme persécuté ("mis sur écoute", suivi à son domicile") par l'État.



Bonus : l'avocat de Pavlenski est désormais désigné. Il s'agit de Yassine Bouzrou (sollicité par Branco lui-même).

Vedette des milieux anarchistes et islamogauchistes (sous prétexte -notamment- de sa défense de victimes de violences policières), Bouzrou a une particularité qui n'est jamais évoquée par ses fans d'origine maghrébine (là encore, adulé sous prétexte qu'il est d'origine modeste et marocaine).

Récemment, Bouzrou a accepté de prendre la défense de deux personnages crapuleux : 

* Cédric D alais Haurus, ex-policier de la DGSI qui –via le darknet– a notamment vendu des informations confidentielles à des criminels mafieux

* Rani Saïdi, employé de la soeur du prince héritier saoudien (l'assassin et sioniste Bin Salmane) qui a séquestré et violenté à Paris un ouvrier car celui-ci aurait pris secrètement une photo de la princesse. "Il faut tuer ce chien, il ne mérite pas de vivre", lui avait-elle affirmé.

 

 

 

Remarquons au passage que Bouzrou, comme Maïsto, présente -avec un ton délicieusement mélodramatique- son "confrère Juan Branco" comme un homme injustement "surveillé" (alors que dernier a joué un rôle-clé dans une action illégale aux ramifications politiques troubles).



Quand j'avais interviewé Bouzrou, lors de mon reportage de 2009 sur le procès Fofana, l'ambitieux et jeune avocat (que je croisais souvent sur l'antenne de Beur FM, auprès de son ami -fasciné par sa voiture de luxe- Abdelkrim Branine) était nettement plus professionnel…ou moins cabotin (à 5'20).



À suivre : en annonçant son passage de relais à Bouzrou, l'imposture Branco remercie (à 1'55) leur confrère Avi Bitton, l'avocat fan de Jakubowicz et membre d'une célèbre et influente officine de censure sioniste : la Licra.



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