Je suis Panamza : ils veulent ma peau
Journaliste d'enquête et fondateur du média Panamza, j'ai besoin de vous pour affronter une cascade de procès politiques. Parmi les assaillants : un ex-Premier ministre, le patron du lobby juif, une sous-préfète vallsiste, le clan Rothschild et une complice d'Epstein.
Le 01.03.2020, mis à jour le 10.09.2021
Je suis Hicham Hamza.
À partir de rien, j'ai brisé le plafond de verre de la corporation journalistique en montant -grâce à mon seul travail opiniâtre et persévérant de rédaction et d'enquête- un média indépendant.
Mieux encore : le modèle économique de Panamza est unique en son genre.
Il n'existe aucun autre site d'information en France qui s'avère à la fois alimenté essentiellement par un seul homme et capable de perdurer depuis plus de 8 années sans la moindre subvention publique ou ressource publicitaire.
Panamza, en quelques chiffres :
– 13 ans d'écriture journalistique et d'investigation à contre-courant des médias mainstream de l'Hexagone
– des milliers d'articles/vidéos/billets d'information
– des dizaines de milliers de sources accessibles en lien URL
– plus de 100 000 followers sur les réseaux sociaux
– des milliers de donateurs ponctuels/récurrents et des centaines de fidèles souscripteurs/abonnés
– 9 convocations policières
– près de 6000 euros d'amende (affaire Bergé)
– plus de 50 000 euros de frais de procès (en cours /à venir)
– plusieurs proches exposés et mes coordonnées privées fuitées (via des avocats/flics véreux) auprès de mes adversaires
Dans la foulée de mon livre (jamais attaqué car tout simplement inattaquable) sur l'implication d'Israël dans le 11-Septembre, j'ai voulu réaliser un portail d'information politique qui braquerait le projecteur sur un sujet totalement tabou en France : la toile incroyablement dense et étendue des réseaux sionistes.
En toute logique, mon travail et son efficacité (dans la foulée- notamment-des attentats de janvier et novembre 2015) m'ont suscité quantité innombrable d'ennemis, certains haut-placés.
Sans parler ici de leurs idiots utiles : les ricaneurs de tous bords qui n'ont que le mot "complotisme" en bouche, à défaut de contre-arguments factuels et étayés.
Je n'évoquerai pas non plus les bien-pensants qui ont souvent lu mes articles avec un vif intérêt mais qui font profil bas en évitant soigneusement toute référence positive et publique à Panamza. Leur soumission au terrorisme intellectuel ambiant les a déjà déshonorés.
Dieu merci : depuis 2013, j'ai pu parallèlement compter sur mes propres "business angels" -ces milliers de femmes et d'hommes, de tous horizons, qui ont concrètement soutenu Panamza en contribuant financièrement à son essor et à sa pérennité. Par des donations répétées ou le renouvellement fidèle de leurs abonnements.
J'aurais pu également tenir un courrier des lecteurs : il témoignerait de l'incroyable diversité culturelle, religieuse, socio-économique et politique de mes followers bienveillants.
Aujourd'hui, je suis fier d'avoir édifié Panamza -un site célébré par les uns, détesté par les autres, mais qui a indéniablement forgé sa notoriété. D'entrée de jeu.
Des centaines de vidéos, des milliers d'articles, des dizaines de milliers d'infos -le plus souvent inédites. Des détracteurs, eux aussi, divers -parfois obsessionnels. Et un travail d'intérêt public, notamment au coeur de cette trouble période que fut la mystérieuse séquence 2015/2016 des attentats.
Aujourd'hui, l'effet-boomerang est massif, implacable, nocif : l'accumulation de plaintes à l'encontre de ma personne vise à m'asphyxier.
Financièrement : mon modèle économique, efficace mais fragile car autonome, en subit les conséquences. De plein fouet.
Professionnellement : le temps passé à développer ma pratique journalistique (pour l'affiner, l'approfondir et la renouveler) est désormais grignoté par ces heures perdues à élaborer une défense judiciaire.
Moralement : j'ai le cuir tanné et je sais faire le dos rond mais observer des puissants/manipulateurs/désinformateurs/délinquants réussir à vous faire convoquer par la police, traîner au tribunal et détourner votre argent -sous les applaudissements des railleurs et des rageux- peut exaspérer le plus stoïcien des citoyens.
Aujourd'hui, je dois assurer ma protection judiciaire : de toutes parts, des mises en demeure ou des convocations policières me sont adressées pour m'intimider et me sanctionner.
Avec un bon avocat et des moyens conséquents pour les frais de justice, je peux les faire plier.
Pas seulement pour la crédibilité de mon journalisme atypique dans l'Hexagone car systématiquement sourcé.
Il s'agit aussi de vous : de votre accès à ces infos que vous ne découvrirez nulle part ailleurs.
Songez-y, lecteur fidèle de la première heure ou ancien soutien désormais en désamour pour X raison : si Panamza n'existait pas depuis 2013, vous n'auriez pas appris certains éléments que vous avez alors jugé intéréssants, voire essentiels pour éclairer au mieux les citoyens.
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Voici, ci-dessous, le détail de ma saga judiciaire de 2013 à 2021 :
* Affaire Cazeneuve : en défense contre l'ancien Premier ministre (et ex-ministre de l'Intérieur durant la phase sanglante du terrorisme de masse) qui m'accuse de "diffamation envers une personne dépositaire de l'autorité publique". Ma mise en examen a été prononcé.
* Affaire Goldmann : en défense contre le patron du lobby juif-et-sioniste hexagonal qui m'accuse de "diffamation".
* Affaire Leoni : en défense contre la sous-préfète Cindy Leoni, ex-bras droit de Manuel Valls et pasionaria de la cause sioniste, qui m'accuse d'avoir été "injurieux" et "raciste" quand j'ai rapporté sa nationalité israélienne.
* Affaire Junkermann : en anticipation d'une plainte à venir de l'ex-associée de Jeffrey Epstein , suite à une mise en demeure adressée pour "diffamation".
* Affaire Elfassi : en défense pour "violation du secret professionnel" et "diffamation" selon le paparazzi franco-israélien.
* Affaire Rothschild : en anticipation d'une future plainte (suite à un premier signalement à la police) par la Sorbonne, sous prétexte d'un tweet (assimilé à une "provocation publique à la haine raciale") exposant les liens d'un universitaire en charge de la "mémoire" du 13-Novembre avec Éric de Rothschild, le multimillionnaire pro-israélien qui fut prévenu de l'imminence des attentats.
* Affaire Licra : en défense pour un prétendu "piratage" d'une correspondance privée.
* Affaire Fourest : en défense –jusqu'en Cour de cassation– contre la notoire désinformatrice et piètre réalisatrice, liée à l'extrême droite israélienne et à l'ambassade d'Israël, qui m'accuse de "diffamation".
* Affaire Bergé : en défense contre le multimillionnaire islamophobe et antichrétien qui m'accuse de l'avoir "diffamé" dans un article relatif à la mention de son patronyme dans une enquête policière portant sur les réseaux pédophiles franco-marocains (suite au décès du plaignant, le parquet de Paris a repris l'affaire -en lien avec son veuf Madison Cox, paysagiste d'un certain Jeffrey Epstein…). Amende requise : 5700 euros.
* Affaire Ghozlan : en défense contre le militant judéo-fasciste qui a porté plainte pour "provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence contre les juifs et la nation israélienne" à la suite de mes révélations factuelles et irréfutables sur les attentats de 2015. Peine encourue : un an de prison.
* Affaire France 2 : en attaque contre l'émission Envoyé spécial de France 2 pour "recel" à propos de la diffusion d'un reportage affichant -sans mon consentement- mes données personnelles. Visés : Delphine Ernotte, Michel Field, Guilaine Chenu, Françoise Joly et le désinformateur Paul Sanfourche (soit toute la chaîne de responsabilité du reportage litigieux).
* Affaire CFJ : en attaque contre le Centre de formation des journalistes pour "divulgation" de mes "données confidentielles" qui furent utilisées par France 2. Visés : Julie Joly, Michèle Martin et l'agent d'État honoré par Israël Christophe Deloire (tous trois étant les seuls à avoir été en capacité d'obtenir, de conserver et de transmettre mon dossier universitaire).
* Affaire Bataclan : en attaque contre l'État pour "abus de pouvoir", suite à ma garde à vue déclenchée par "une consigne venue d'en haut" (selon une source policière) et aux menaces consécutives de poursuites -finalement abandonnées- pour "violation du secret de l'instruction", "diffusion d'images portant gravement atteinte à la dignité humaine" et "violences volontaires sans ITT avec préméditation" en raison de ma révélation de l'origine israélienne de l'étrange photo-choc du Bataclan.
* Affaire Clavreul : en attaque contre l'ancien préfet-relais de Manuel Valls et militant judéosioniste du Printemps républicain pour "injure publique".
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Les frais d'avocat et d'huissier relatifs à l'ensemble de ces QUATORZE procédures accumulées depuis HUIT ans dépassent aujourd'hui la somme de 50 000 EUROS (un avocat standard de la place de Paris m'avait ainsi demandé 60 000 euros pour m'assister sur 5 affaires seulement…).
Détail important à souligner : certains des plaignants/mis en cause disposent de plusieurs avocats puissants ou influents ainsi que du soutien non seulement des pouvoirs publics mais également de juristes spécialisés en droit de la presse.
Je compte sur vous.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
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Pour contribuer aux frais de justice, 3 solutions :
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