L’accusatrice de Ramadan donne sa 1ère interview à une fan du « peuple juif »
INFO PANAMZA. La militante laïque Henda Ayari -qui affirme avoir été violée par l'islamologue Tariq Ramadan- a accordé son premier entretien télévisuel à Apolline de Malherbe, admiratrice déclarée des «juifs» et salariée de l'homme le plus riche d'Israël.
Le 30.10.2017 à 17h11
Hier, dimanche 29 octobre, Panamza révélait la connexion de Jean-Michel Décugis, journaliste-bidonneur à l'origine de deux scoops sur l'affaire Ramadan, avec la nébuleuse islamophobe, atlantiste et sioniste.
Ce matin, à l'aube du lundi 30 octobre, surprise, surprise : Décugis, salarié du Parisien, confirme son avance médiatique sur le sujet en dévoilant -via le site internet du quotidien- une vidéo "exclusive" d'entretien avec Henda Ayari.
Au même moment, le site du magazine Elle (dont la rédactrice en chef Anne-Cécile Sarfati avait déroulé le tapis rouge à l'islamophobe Caroline Fourest), a également publié un entretien (non-audiovisuel) avec la plaignante.
Trois heures plus tard, le site de Franceinfo (dont la rédaction est contrôlée par Germain Dagognet, un "ami très proche" de la communautariste Anne Sinclair) dévoile à son tour un bref extrait d'une interview d'Ayari.
Entretemps, le gros coup médiatique du jour est réservé à BFM TV.
La chaîne possédée par Patrick Drahi, première fortune d'Israël, a diffusé -conjointement avec la radio RMC- un entretien de 21 minutes avec Ayari.
L'interview se conclut par un appel tacite aux dons à destination de l'association "Libératrices" d'Ayari.
Remplaçante de l'interviewer Jean-Jacques Bourdin : la journaliste politique Apolline de Malherbe.
Sa particularité?
Son extrême admiration -déclamée en Israël- envers «les juifs» ou «le peuple juif».
Lors de ce séjour en Israël (au mois d'avril 2015), la journaliste avait accepté avec ferveur de devenir la marraine d'un voyage organisé par des descendants de "Justes", ces citoyens ayant sauvé des juifs durant la seconde guerre mondiale.
Organisatrice du voyage : la Fondation France-Israël présidée par la militante ultra-sioniste et anti-arabe Nicole Guedj.
Dans l'image ci-dessous, on peut d'ailleurs reconnaître Guedj (au centre) et de Malherbe (à droite).
Un an plus tard, de Malherbe est retournée en Israël pour co-réaliser une longue interview particulièrement complaisante de l'israélomane Manuel Valls.
Nul doute que son mari Alexis Morel, ex-diplomate de Sarkozy, apprécie le sionisme maladroit mais exalté de la journaliste : sa puissante compagnie d'armement -dénommée Thalès- fait régulièrement des affaires en Israël.
HICHAM HAMZA
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