Ce que l’on vous cache sur le passé de Macron
INFO PANAMZA. Selon la version officielle, Emmanuel Macron, banquier éphémère, serait rentré en contact avec le clan Rothschild dans l'année 2008. C'est faux : le lien est bien plus ancien. La preuve par les sources.
Le 07.01.2024 à 23h12
Dans le volet précédent de mon enquête sinueuse et sensible, j'ai abordé la face cachée de Jacques Attali, mentor officiel de Macron.
En l'occurrence, sa trame profonde, de nature religieuse : son communautarisme juif et BCBG, depuis plus de 50 ans, aux côtés de la famille aristocratique des Rothschild.
Un engagement qui perdure encore aujourd'hui, non seulement dans son ancrage méconnu au sein de la direction de la très discrète Fondation du judaïsme français (présidée par le proche du Mossad Ariel Goldmann) mais également dans ses interventions médiatiques confidentielles, tel cet entretien accordé en juin dernier au désinformateur ultrasioniste accusé d'agression sexuelle Frédéric Haziza.
Evidemment, le judaïsme fervent d'Attali, teinté d'une défense radicale mais voilée sous une forme pondérée, n'est jamais évoqué quand il parade à son aise dans les médias mainstream, comme ce fut récemment le cas chez Léa Salamé, bourgeoise du clan Soros qui a bénéficié au tournant des années 2000 de la mode du recrutement médiatique de la "diversité" pour se faire une place au soleil de l'audiovisuel public, d'abord sur LCP et France 24 (grâce à Jean-Pierre Elkabbach et Gérard Saint-Paul, amis de son père Ghassan Salamé) puis désormais sur France 2, à travers une émission insipide de propagande feutrée, à la fois macroniste et sioniste.
Savoir que le tuteur -encore une fois "officiel"- de Macron est un compagnon de route zélé des Rothschild n'est pas anodin quand on connaît la volonté historique d'emprise de cette famille auprès des dirigeants, qu'il s'agisse de Louis-Philippe, Napoléon III jusqu'à leurs employés ponctuels (d'avant la présidence) Georges Pompidou et même Nicolas Sarkozy…
Ne comptez pas sur le duo Attali/Minc, digne du Muppet Show, pour vous expliquer l'engouement médiatique pour Macron dès l'année 2012/13, comme l'illustre ce papier dithyrambique de l'Express (possédé alors par l'Israélien Drahi) ou celui-ci paru dans Libération (propriété à ce moment-là d'un certain Edouard de Rothschild, frère de David et partenaire en affaires de…François Bayrou, le centriste qui -surprise, surprise- apporta son soutien décisif à Macron en février 2017).
Peu de temps après le démarrage de ce matraquage publicitaire en sa faveur, Macron entamera d'ailleurs un changement de look pour quitter son style huppé de banquier british en demandant les conseils du tailleur Jonas & Cie, basé dans le Sentier et mené par la famille Touboul.
Dans la poignée de parrains ou d'anges gardiens supposés de Macron, l'un d'entre eux se distingue par son mystère comme par son ancienneté, à l'instar d'un sphinx encore ensablé.
Plus étrange encore : les médias français ne lui ont quasiment consacré aucun papier de fond, aucune enquête exhaustive.
Juste quelques articles relativement superficiels et vides.
Et pourtant…
Cet individu, également lié aux Rothschild, est probablement la clé de l'énigme Macron, ou plus exactement la passerelle qui raccorde un passé trouble et foisonnant avec la soudaine fulgurance de celui qui fut surnommé par l'entourage de François Hollande "le petit prince"…
Son nom ?
Il s'agit de…