« Back home

Plainte contre Haziza pour « injures publiques » : la justice classe l’affaire

INFO PANAMZA. Salarié de l'audiovisuel public, Frédéric Haziza vient mystérieusement d'échapper à une procédure judiciaire intentée contre lui. 

Le 16.10.2014 à 20h37

Je viens d'avoir un appel concernant la procédure à l'encontre de monsieur Haziza, le parquet a décidé de ne pas donner suite.

C'est ainsi que Shams, traité de "connard" et assimilé à un "islamiste" par le journaliste Frédéric Haziza, a fait connaître à Panamza la dernière péripétie relative à sa plainte pour "injures publiques" déposée le 26 juillet contre le journaliste de La Chaîne Parlementaire et révélée ici même.

Haziza?

Souvenez-vous : le 29 septembre, un portrait synthétique, étayé par des faits et rédigé au vitriol de cet individu obsédé –depuis plusieurs mois– par Panamza, avait été esquissé par l'auteur de ces lignes.

Découvrez aujourd'hui Frédéric Haziza : propagandiste ultra-sioniste {http://panamza.com/6362} lié à l'extrême droite israélienne {http://panamza.com/scarface-lcp}, journaliste incompétent {http://panamza.com/8368}, citoyen injurieux {http://panamza.com/7552) et menaçant {panamza.com/soldat-haziza}, personnalité paranoïaque {http://panamza.com/aki} et désinformateur patenté {http://panamza.com/akj}.

Un dernier détail qui a son importance? Frédéric Haziza est payé avec VOTRE argent : celui du service public audiovisuel via La Chaîne Parlementaire. 

Question : jusqu'à quand?

Nouvelle question: pourquoi le parquet de Paris, actuellement dirigé par François Molins (un proche de l'UMP et de la mouvance sioniste), a-t-il décidé de classer l'affaire? 

Motif rapporté par Shams : "Il semblerait qu'il ne s'occupe pas d'affaires privées…".

Depuis cette annonce, l'homme hésite : il peut faire citer Haziza à comparaître (au risque de perdre et de se faire lui-même poursuivre pour diffamation par l'intéressé) ou, dès à présent, abandonner le bras de fer.

Les conseils de juristes avisés, par mail ou dans la section des commentaires, seront transmis par Panamza au jeune homme.

Quant à Haziza, gageons que l'homme, qui a récemment participé (avec l'inénarrable Meyer Habib et le truculent Patrick Klugman) au rassemblement parisien organisé par un influent groupe communautariste et ultra-sioniste américain, ne devrait pas être inquiété par le procès qui doit se tenir vendredi 17 octobre à la 17ème chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Paris.

Salarié de LCP et Radio J, ce titulaire d'une carte de presse, qui se rend aux manifestations pro-palestiniennes avec son garde du corps, avait porté plainte contre l'écrivain Alain Soral pour, entre autres motifs, "invective constitutive d'une injure".

Curieusement, sa plainte -à lui- a abouti.

HICHAM HAMZA  

Cet article vous a intéressé?

Soutenez le journalisme d'investigation de Panamza, la gazette de l'info subversive ! 

Rejoignez les followers de Facebook /Twitter/Youtube 

ET contribuez personnellement au développement fulgurant du site

en souscrivant un abonnement privilégié / en effectuant le don de votre choix.

5 responses to Plainte contre Haziza pour « injures publiques » : la justice classe l’affaire

  1. On octobre 16th, 2014 at 23:03 , lantuti said...

    Haziza, à la fois méprisable et utile, à la fois la caricature du traitre à la nation et le thermomètre qui montre où on en est.

  2. On octobre 17th, 2014 at 01:29 , Lejuriste said...

    Bonjour,

    Je me permets de répondre à vos question en vous aidant et en aidant le lecteur.

    Une simple plainte a été déposée à l'encontre de Haziza. Cette plainte a fait l'objet d'un classement sans suite de la part du parquet.

    En droit pénal, dont dépendent les injures publiques voir les injures à raison de la race, la preuve doit être rapportée par l'accusateur. Je me demande donc si le jeune homme à penser à aller déposer une plainte avec les témoins de la scène ou si simplement il a pris leurs coordonnées ou, encore, si il a filmé la scène?

    A défaut de témoin ou de vidéo, il serait impossible de faire condamner Haziza. Voilà pourquoi le parquet ne s'engage pas dans cette voie à mon avis. Mais vous avez raison d'être méfiant les parquets sont les auxiliaires du Ministre de la Justice dont ils prennent les ordres. Ils ne sont pas indépendants.

    Pour que votre information soit complète, car cela doit vous intéresser au vu de votre excellent travail de journaliste (et ils sont rares !), il existe deux autres possibilités de citations devant les juridictions pénales (devant le tribunal correctionnel notamment):

    – Citation directe:

         On cite nommément la personne accusée devant le tribunal. L'avantage est qu'il y a forcément jugement. L'inconvénient est que le prévenu, s'il est relaxé des fins de la poursuite, pourra se constituer partie civile contre le plaignant et lui réclamer des dommages-intérêts au vu du préjudice qu'il aura subi. Le ministère d'avocat est malheureusement obligatoire pour cette citation.

    – Plainte avec constitution de partie civile devant le doyen des juges d'instruction:

         On rédige une plainte circonstanciée et le plus neutre possible, concise et surtout précise. Une consignation est demandée (somme d'argent à déposer pour appuyer la plainte). Cette somme couvrira les frais du préjudice subi par l'adversaire si celui-ci bénéficie d'un non-lieu (c'est à dire si le juge d'instruction vous donne tort). Cette somme est fonction des revenus du plaignant. Le ministère d'avocat n'est ici pas obligatoire (on peut faire ça seul).

    Si le jeune homme à des témoins (plus il y en a mieux c'est) ou une vidéo, il peut dès lors utiliser une des deux voies ci-dessus. Ses chances de gagner, seront assez raisonnables. Le tout repose donc ici sur la charge de la preuve qui repose sur l'accusateur ou plaignant. Voilà pourquoi si aucun témoin ne se fait connaître ou si aucune preuve (vidéo en l'espèce) ne sort aucune procédure ne peut être dilligentée tant par le parquet que pour la citation directe ou la plainte devant le doyen.

    En espérant avoir été le plus clair possible.

  3. On octobre 17th, 2014 at 12:03 , Air One said...

    Amusant de lire Mr Haziza menacer Hicham Hamza de plainte en diffamation alors qu'il n'a de cesse de le traiter d'islamofasciste, de complotiste et d'antisémite.

    Ça par contre, de la part d'un journaliste payé par le service public avec nos impôts, c'est permis ! Il est fort dommage que Naulleau n'ait pas eu le courage de porter plainte quand il a été accusé par ce triste personnage d'avoir fait un salut nazi inversé en posant pour une couverture de magazine, ou que Bruno Masure n'ait pas fait de même pour avoir été traité d'antisémite suite à sa critique de la pièce de BHL.

    Mr Haziza se croit tout permis et de fait il l'est ! Il diffame en toute impunité en bénéficiant d'une bien étrange bienveillance de la part de ses confrères.

  4. On octobre 17th, 2014 at 18:02 , hugo bel / resistance mecanik said...

    pour moi, le but est atteint, meme si le demandeur, n'a pas ete reconnu victime. En effet, le simple fait d'ebruiter l'affaire, et donc, de montrer a la poupulace, que cet e…. sur service public, JOUIT D'UNE IMPUNITE est tres grave, dans ce pays qui se pretend, etre un exemple de democratie, et d'egalite. Nous avons tous vu, effectivement, l'egalite a tendance sioniste qui regne en france. Oui, a tendance sionste, car depuis quelques temps, les agents de l'entite malefique que je nommerais "le soi-disant etat d'Israel, se permettent des agressions physiques et verbales, sans qu'ils ne soient inquietes. Il a meme ete prouve, pendant une manif de jour de colere, que des "antifas", avouaient, que des policiers se chargeaient, de verifier, que ces memes antifas, 

  5. On octobre 17th, 2014 at 18:12 , Lejuriste said...

    Je dois ajouter une chose sur le « parquet politique » sur cette affaire:

    Le parquet s’est apparemment abstenu de toute enquête judiciaire. Même pas une audition du sieur Haziza pour obtenir des aveux comme on peut le voir dans certains cas d’antisémitisme qui eux sont pris très au sérieux par le « parquet politique ». Bizarre…

    Le mot « islamiste » est à mes yeux le mot le plus grave et aurait mérité, comme on le fait avec les « injures antisémites » une enquête judiciaire de flagrance ou non afin de rechercher des preuves.

    Là où l’on déplace des montagnes pour un « antisémite » le « parquet politique » ne fait strictement rien pour un citoyen qui se fait insulter d' »islamiste ». Voilà encore un bel exemple d’un « parquet politique » à deux vitesses !

    Encore une chose importante à savoir pour les lecteurs:

    Lorsqu’un avis de classement sans suite est rendu par le Parquet, il est possible en prétextant que cela va servir la défense de ses intérêts, de demander les pièces d’enquêtes (pv d’audition par exemple). Il suffit de les demander au Parquet qui classe sans suite. Qu’on se le dise !

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


4 − = 1

« Back home