Lié à Israël, le prochain patron du CFCM soutient Mila
INFO PANAMZA. L'antimusulmane haineuse Mila, instrumentalisée par des militants sionistes, est aujourd'hui soutenue par Chems-Eddine Hafiz, recteur de la Grande mosquée de Paris et vice-président du CFCM qui entretient des liens étroits avec le clan sioniste.
Le 07.02.2020 à 11h44
Il est le nouveau recteur de la Grande mosquée de Paris et le futur (de 2022 à 2024) patron du Conseil français du culte musulman (dont il assure aujourd'hui la vice-présidence).
Le 7 novembre, Panamza avait révélé en détail son lien secret (via son cabinet d'avocats) avec un clan engagé pour Israël.
Le 3 février, il a rencontré amicalement (en vue d'un rapprochement) Francis Kalifat, patron–censeur d'extrême droite sioniste du Crif et chantre des intégristes Loubavitch qui affiche tranquillement sa volonté (vidéo ci-dessous à l'appui) "d'écraser tous les antisémites".
Le 4 février, Panamza a exposé -preuves à l'appui- l'instrumentalisation sioniste de l'affaire Mila.
Aujourd'hui, vendredi 7 février, le Franco-Algérien Chems-Eddine Hafiz a fait savoir sur son compte Twitter qu'il "saluait la persévérance" du ministre de l'Éducation nationale (un opposant radical au voile islamique et chantre du Crif) pour son "soutien" à Mila.
Sans surprise, son tweet est aussitôt "apprécié" par Gil Taieb, Karen Taieb, Karim Amellal, Bernard Schalscha -entre autres.
À noter : toujours disponible pour accorder des entretiens polissés à la chaîne israélienne i24news, Chems-Eddine Hafiz a fondé un groupe pluri-religieux avec son confrère Bernard Cahen, co-patron du "Rassemblement des avocats juifs de France" -une association communautariste qui soutient pleinement Israël.
Pour comprendre cette situation, gardez à l'esprit les propos -révélés en 2014 par Panamza -du militant judéosioniste de longue date et kabbaliste assumé Jacques Attali : "Il n'y a pas de bourgeoisie musulmane. Il est donc très important d'aider à la créer et de créer les conditions que le dialogue judéo-musulman aide à son renforcement… Cela ne veut pas dire qu'il faille se substituer à la puissance publique. Ça veut dire qu'il importe à la communauté juive de jouer un rôle".
Cette subtile et pernicieuse mise sous tutelle communautaire de l'islam de France est désormais visible partout, du sommet des instances à la pseudo-opposition, du CFCM aux prétendus contestataires des autorités musulmanes (tels El Karoui, Muhammad, Bouteldja, Messaoudene, Abina et Bouhafs).
Rappel :