Le gouvernement Valls a comploté pour m’envoyer en prison
Journaliste indépendant, j'attaque en justice Gilles Clavreul, préfet rattaché au Premier ministre, collaborateur du gouvernement israélien et artisan d'une sordide machination judiciaire à mon encontre. La preuve en images.
Le 15.03.2017 à 14h28
Comploter : préparer secrètement une action,
en général hostile, néfaste.
Ma détention en garde à vue –durant 7 heures, le 22 février 2016– fut le résultat d'une manigance édifiée au sommet de l'État.
Mon tort : avoir enquêté sur les attentats de Paris et révélé aux citoyens le rôle trouble des réseaux franco-israéliens. J'avais notamment identifié le compte Twitter (activé depuis Jérusalem) qui fut à l'origine de la diffusion virale de la photographie sanglante du Bataclan. Le groupe israélien qui avait étrangement réussi à se procurer rapidement l'image-choc : United Hatzalah, co-dirigé par un néoconservateur américain et l'ancien patron du Mossad.
Suite à mon placement en garde à vue dans les locaux de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne, la date d'un éventuel procès devait m'être communiquée dans les six mois consécutifs. Motifs formulés à mon avocate et invoqués selon l'enquête préliminaire (alors ouverte par le parquet de Paris) : "violation du secret de l'instruction", "diffusion d'images portant gravement atteinte à la dignité humaine" et "violences volontaires sans ITT avec préméditation".
Si le procès s'était tenu, une peine d'emprisonnement aurait pu être prononcée au regard de la gravité des infractions reprochées.
Le déclencheur de cette opération finalement entravée : le "Dilcra" (délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme), à savoir Gilles David Alexandre Clavreul -sous l'autorité de l'ancien Premier ministre Manuel Valls.
Sa méthode : se basant sur l'article 40 du Code de procédure pénale, la saisine directe du parquet de Paris -sous prétexte de ma prétendue "atteinte à la dignité humaine" (en ayant simplement, en guise de démonstration, intégré dans le texte de mon article incriminé le lien URL de la page Twitter -comportant l'image sanglante- de l'organisation israélienne).
La preuve de la machination en vidéo (images extraites d'une conférence mise en ligne le 6 février 2017 sur Akadem, site franco-israélien):
Issu de la bourgeoisie du Vème arrondissement de Paris, ce préfet (titularisé en juin 2016) et ex-fonctionnaire du sarkozysme (au service du tandem islamophobe Brice Hortefeux/Claude Guéant) est rattaché à Matignon depuis fin 2014.
Qualifié d'"activiste néoconservateur sous uniforme préfectoral" par Edwy Plenel, Gilles Clavreul, cofondateur du groupuscule para-maçonnique et antimusulman "Printemps républicain", est un militant emblématique du clan Valls et un partenaire zélé du gouvernement ultra-nationaliste de Benyamin Netanyahou.
Admirateur de Bernard-Henri Lévy, soutien de Caroline Fourest, ami de Yaël Mellul, pote de Mohamed Sifaoui et complice de Frédéric Encel, ce commissaire politique, célébré au dernier dîner du Crif, étroitement lié (depuis 2014) au "Comité juif américain" et doté d'un budget de 100 millions d'euros, se distingue par sa hiérachisation des racismes et son allégeance à l'oligarchie sioniste.
« Tous les racismes sont condamnables, mais le racisme anti-Arabe et anti-Noir n’a pas les mêmes ressorts que l’antisémitisme dans sa violence. Il faut être capable de dire la particularité de l’antisémitisme ».
« Que la figure de la femme palestinienne voilée soit devenue l’alpha et l’oméga de la cause du prolétariat est quelque chose de délirant ».
Je ne me fais aucune illusion, d'ores et déjà, sur l'omerta de la corporation médiatique traditionnelle à propos de cette nouvelle information relative à mon placement abusif en garde à vue.
Pour avoir indépendamment exercé, depuis huit années, mon métier de rédacteur-enquêteur spécialisé sur les sujets tabous que sont la mouvance sioniste et le terrorisme sous faux drapeau, je revendique mon statut d'outsider de la profession, à savoir -pour reprendre l'expression de Glenn Greeenwald– un "journaliste qui n'a jamais fait partie du sérail".
Je ne compte pas davantage sur le soutien public de certaines personnalités et associations prétendument engagées contre la désinformation ou le régime d'apartheid israélien : la plupart ont tacitement accepté d'incarner les idiots utiles du pouvoir en reprenant parfois à leur compte la dénonciation à la mode -mais digne des anciens régimes totalitaires- du "complotisme", nouvelle escroquerie intellectuelle destinée à diaboliser quiconque remettra en cause toute parole officielle.
Je compte sur vous, lecteur fidèle et solidaire.
Face à cette dérive fascisante de l'État et cette atteinte manifeste à la liberté d'expression, contre-attaquez.
Faites du bruit, parlez-en autour de vous :
Pour le sanctionner, un journaliste d'investigation a fait l'objet -sans la moindre base légale- d'une manoeuvre judiciaire au plus haut sommet de l'État, alors noyauté par le clan ultra-sioniste de Manuel Valls, à la suite de ses révélations sur les attentats de Paris.
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Participez, quelque soit la somme investie, aux frais judiciaires pour garantir ma liberté de vous informer : un avocat spécialisé pourra ainsi établir précisément les chefs d'accusation (parmi lesquels celui d'"injures publiques") et déposer une plainte en bonne et due forme contre Gilles Clavreul. Ce dernier sera alors jugé, soit devant la 17ème chambre correctionnelle, soit devant la Cour de justice de la République (puisqu'il s'agit là d'un membre en exercice du gouvernement).
Votre soutien sera mon rempart.
HICHAM HAMZA
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