Assassiné par un Tchétchène, Samuel Paty avait une liaison en Russie
INFO PANAMZA. 6 mois avant sa décapitation par un islamiste tchétchène, Samuel Paty tentait désespérément de faire venir en France une femme russe connue sur un site de rencontres.
Le 16.10.2022 à 19h45
Cela fait 2 ans, jour pour jour.
Le 16 octobre 2020, l'enseignant Samuel Paty était poignardé et décapité par Abdoullakh Anzorov, réfugié russe d'origine tchétchène qui aurait été outré par la diffusion en cours d'une caricature du prophète de l'islam produite en 2012 par Corinne Rey de Charlie Hebdo.
La photographie atroce de cet acte barbare (et curieusement annoncé par le proche de la franc-maçonnerie Jean-Pierre Chevènement…) avait d'ailleurs été obtenue par un Israélien qui s'en était vanté sur Twitter avant de se rétracter...
Ce dimanche, un hommage particulier lui a d'ailleurs été rendu par l'obédience maçonnique du Grand Orient de France.
À l'époque, Panamza avait notamment révélé que le bouc émissaire de l'affaire, présenté par des médias moutonniers comme un "islamiste propalestinien" et dénommé Abdelhakim Sefrioui, était en réalité proche des services marocains (et donc israéliens).
Mieux encore : un contact anonyme avait déjà alerté Panamza (par email et en 2015) sur son cas. Selon cette source, Sefrioui -connu à l'époque pour organiser des rasemblements spontanés pour Gaza- était secrètement payé par des fonctionnaires de la préfecture de police de Paris qui -habillés en civils- prenaient alors des photographies des participants.
En clair : loin d'être un trublion radicalisé et autonome, Sefrioui aurait été un agent d'État(s) chargé -en mode bateleur- d'appâter les contestataires antisionistes (pour les faire identifier et ficher) lors de ses happenings sauvages autour de la Sorbonne.
J'y reviendrai. Courriel intégral et certifié à l'appui.
Aujourd'hui, un nouvel élement d'information mérite d'être exposé, notamment au regard du silence assourdissant de la presse hexagonale dite d'investigation sur le sujet.
Depuis deux ans, d'innombrables journalistes proches de policiers er/ou de magistrats ont dévoilé quantité d'infos, plus ou moins anecdotiques sur l'affaire Paty.
L'une d'entre elles fait l'objet d'une curieuse omerta : selon mes informations, Samuel Paty avait remué ciel et terre, durant le printemps 2020, pour envoyer de l'argent à une femme russe dont il était épris.
Précisément : selon son entourage (notamment son ex-compagne Jeanne), Paty était inscrit sur les sites de rencontres -notamment ceux spécialisés dans la mise en relation exclusive avec des femmes russes.
Dans les derniers mois avant sa mort, la situation globale du confinement ayant rendu plus compliqué l'envoi de mandats à destination de la Russie, Paty avait envisagé de s'y rendre afin de rencontrer et ramener avec lui celle –prénommée Marina– dont il était devenu amoureux (et ce n'était pas la première Russe qu'il convoitait).
Cette information singulière – un enseignant de la petite ville d'Éragny-sur-Oise en lien sentimental à distance avec une mystérieuse Russe et qui sera spectaculairement assassiné à la même période par un Tchétchène domicilié dans une autre région (Evreux, dans l'Eure)- est connue par plusieurs médias et experts de l'affaire Paty.
Et pourtant, aucun organe de la presse écrite et audiovisuelle ne l'a évoqué.
Tous se taisent sur cette "coïncidence" improbable et ses ramifications éventuelles…
Panamza vous propose, en attendant d'autres révélations inédites à venir sur l'affaire Paty, de découvrir ci-dessous la source originelle de cette information exclusive.
ll s'agit…