Je révèle le rôle d’Israël dans les attentats de Paris : la police me convoque
Journaliste indépendant et fondateur du site d'investigation Panamza, je suis attendu par la police qui veut m'auditionner. Mon "tort": avoir exposé la préconnaissance des attentats de Paris par Ariel Goldmann, dirigeant juif lié au Mossad.
Le 22.02.2019 à 22h30
Le 14 janvier 2018, j'exposais en détail la plainte déposée à mon encontre par le militant judéofasciste Sammy Ghozlan –sous prétexte de mes révélations sur les mystérieux attentats de l'Hyper Cacher et du Bataclan.
Le 20 février, je dévoilais la volonté affichée par lobby sioniste de monter un dossier à mon sujet.
Le 23 novembre, je révélais le rôle occulte du dirigeant juif et ultrasioniste Ariel Goldmann, ami intime de Bernard Cazeneuve, dans la préconnaissance des attentats du 13-Novembre.
Le 13 décembre, je dénonçais la doléance délirante de Goldmann, un soutien de l'extrême droite israélienne (notamment le clan de Naftali Bennet, ministre qui "n'a aucun problème à tuer des Arabes") et un communautariste méconnu du grand public mais particulièrement choyé par les autorités françaises : faire créer -sans rire- un "délit de complotisme".
Le 14 décembre, je soulignais le souhait ahurissant de son compère et homologue fou furieux Gil Taieb : "une loi" contre Panamza.
Le 30 décembre, Goldmann -qui s'estime "traîné dans la boue"– a fait savoir, via Twitter et auprès d'un compte anonyme animé par des miliciens sionistes de la chasse aux prétendus antisémites, son "dépôt de plainte" contre Panamza.
Patron du principal lobby judéosioniste hexagonal (le Fonds social juif unifié) et responsable du Service de protection de la communauté juive (SPCJ, en lien avec le Mossad), Goldmann avait réitéré sa menace d'un procès à la date du 14 janvier.
Fin février, je vais devoir me rendre auprès d'un officier de police pour être entendu en qualité de "suspect" : mes deux articles sourcés sur Goldmann (publiés les 23 novembre et 13 décembre) me valent une plainte farfelue (mais odieusement validée par le parquet de Paris -dépendant du pouvoir) pour "diffamation à caractère racial".
Un record de timing : jamais une procédure judiciaire intentée à mon encontre (il s'agit là de ma 5ème convocation policière en 5 ans; toutes ont fait -à ce jour- "pschitt" sur le plan pénal, faute d'éléments sérieux à mon encontre) n'a été entamée aussi vite.
Visiblement, Ariel Goldmann, nommément célébré -hier soir, au dîner du Crif- par Emmanuel Macron, a le bras long.
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Je ne compte pas sur les journalistes mainstream et les militants emblématiques de la scène propalestinienne hexagonale, toujours enclins à s'indigner à la moindre atteinte à leur liberté d'expression ou de manifestation mais particulièrement lâches dès qu'il s'agit d'exposer ouvertement et en pleine lumière les ramifications et agissements occultes de la nébuleuse pro-israélienne. Ils partagent avec leurs adversaires la même soumission au terrorisme intellectuel en vogue de "l'anticomplotisme", cette nouvelle et risible chasse aux sorcières -de fabrication judéosioniste– visant à discréditer sans le moindre argument de fond tout citoyen mettant en doute une version officielle de l'aire géopolitique euro-israélo-américaine.
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Il est grand temps que la peur change de camp.
Contrairement aux élites aujourd'hui au pouvoir, la nouvelle génération en gestation de citoyens engagés en politique devra se confronter –franchement, précisément, radicalement– à l'emprise et la nocivité du lobby judéosioniste dans l'appareil d'État français.
NOUS sommes le nombre, ils sont la minorité.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
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