Soral, ce con fini
Néga-sionisme. Découvrez le dernier mensonge du mythomane raciste Alain Soral au sujet de Panamza.
Le 30.03.2020 à 16h16
Vous défendez (encore) Alain Soral ?
Celui qui me traite de "bougnoule" et d'"agent du FLN" ?
Ce soutien du pédocriminel Matzneff ?
Ce promoteur du tortionnaire anti-arabe Jean-Marie Le Pen qui me menace physiquement ?
"Barrez-vous de mes abonnés", disais-je -dès le 15 février.
Le 25 mars, Soral, confiné dans sa demeure du quartier huppé de Saint-Germain-des-prés, a récidivé dans la calomnie et la désinformation à mon sujet.
Dans sa dernière vidéo-loghorrée, le sexagénaire en perte de vitesse (notamment depuis son selfie sexuel digne d'un ado attardé) prétend (à 1h03) que j'aurais exposé le médecin Didier Raoult en raison "de sa femme juive et de ses gosses juifs".
C'est une grossière contre-vérité : j'ai révélé (comme le fera ensuite The Times of Israel) le texte pro-israélien de Raoult ainsi que sa fréquentation d'un mafieux sioniste et sa récompense décernée à Tel Aviv par une famille de milliardaires américains dévoués à Israël.
Il s'agit là d'actes et de déclarations de Raoult, tout à fait critiquables, et non de références à ses origines ou sa religion.
Mais Soral et sa clique de groupies-trolls anonymes, en dignes caniches du Crif, feignent de s'offusquer en prétendant que mes articles sur Raoult seraient -sans rire- "racialistes".
Au-delà de l'infâmie, le procédé révèle un point intéressant : pour séduire les fans du populaire Raoult (un proche, rappelons-le, du clan Macron dont la chloroquine fera la fortune d'un "copain" du Président), Soral est donc prêt à passer sous silence l'existence de son engagement pro-israélien (et de ses influents relais sionistes)…au point de justifier et d'excuser (à la fin de sa vidéo) le sionisme radical de Christian Estrosi (chantre et ami de lycée de Raoult).
Et passons sur le fait que Soral termine son monologue en encensant pathétiquement les ultra-sionistes Trump et Bolsonaro.
Alors ?
Toujours "soralien" ?
Vous savez ce qu'il vous reste à faire.