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Docteur Claude et Mister Askolovitch

Le 03.10.2013 à 20h40

« Salopard, imbécile, malade, malfaisant » : tels sont les doux mots qui ont été employés par le journaliste Claude Askolovitch dans un mail adressé à l'auteur de ces lignes, comparé -par ailleurs- à sa « cousine d'en face, Natacha Polony ».

Mazette… Mais pourquoi tant de haine?

Mes derniers articles, dans lesquels je rappelais au lecteur les ambiguïtés de ce "résistant de la 25ème heure" contre l'islamophobie, sont en cause. Au lieu d'user d'un droit de réponse ou d'un contre-argumentaire étayé, Claude Askolovitch a préféré recourir au langage du pathos, outrancier et émotionnel, pour faire connaître son courroux. Dont acte.

A l'attention des citoyens sceptiques ou mitigés sur la nouvelle posture du journaliste, Panamza a dressé un récapitulatif de ses actions présentes et passées. A chacun d'apprécier ensuite sa sincérité, en toute connaissance de cause.

Docteur Claude

Rarement un auteur dit sulfureux -dont l'ouvrage est présenté comme "controversé"– aura bénéficié d'une telle couverture médiatique. Claude Askolovitch, édité par BHL, est partout : RTL, France Inter, France 5, I Télé, Europe 1, Arte, LCPFrance Culture, France 24, Oumma Tv, Beur Fm. Tel un pyromane reconverti en pompier, l'homme, étrangement devenu "islamophile", dénonce -depuis 2011- la stigmatisation des musulmans, notamment celle à l'encontre des femmes voilées, et dresse le portrait de pratiquants plus ou moins rigoristes, quitte à donner l'impression d'homogénéiser la communauté en question. Peu importe: l'homme sait charmer son interlocuteur, particulièrement musulman, quand il déclare -comble de l'audace en 2013- être favorable, à l'instar du journaliste Frédéric Haziza (dès 2008, pour sa part), à la dissolution de la Ligue de défense juive (ce qui n'a rien d'étonnant quand on connaît l'hostilité de la LDJ à son encontre).

Fin 2011, l'homme qui déclarait, lors d'une convention du CRIF, son "soutien indéfectible et inconditionnel" à Israël n'omettait pas de déplorer, comme le révéla l'auteur de ces lignes, la dérive pro-israélienne "stalinienne" d'une frange importante de la communauté juive. Quelques mois plus tôt, c'est également lui qui prônait, lors d'un entretien tenu dans un cénacle communautaire, une sorte d'union sacrée avec les musulmans de France pour affaiblir le Front national.

Désormais, Claude Askolovitch affronte -courageusement, selon ses émules- les sarcasmes de certains confrères de la presse écrite et audiovisuelle. Comme il le raconta, mardi dernier, sur l'antenne de France 24, des citoyens musulmans anonymes lui auraient, à l'inverse, exprimé leur reconnaissance. Détail piquant : à la 8ème minute de l'interview, le journaliste commet un lapsus savoureux en affirmant avoir été « remercié par ces gens-là d'avoir mis le dos… euh, le doigt -pardon- sur un malheur, sur leurs tristesses ». Un Claude Askolovitch "adossé" sur le créneau -en pleine expansion- de la lutte contre l'islamophobie? La discrétion est requise : l'expression publique d'une telle opinion ne manquerait pas de scandaliser l'intéressé et ses nouveaux "potes" de la "muslimsphère".

Mister Askolovitch

Voici les faits d'armes -rapportés chronologiquement- du journaliste de Vanity Fair, accessoirement chroniqueur sportif sur la chaîne qatarie Bein (filiale cossue du groupe Al Jazeera).

* avoir soutenu l'invasion anglo-américaine de l'Irak (selon l'anthropologue Malek Chebel, interviewé le 24 septembre sur Arte).

* avoir initié la diabolisation de Tariq Ramadan (comme il l'a reconnu, samedi dernier, face à Alain Finkielkraut) ainsi que celle de l'usage du terme "islamophobie", présenté comme une  "stratégie des trotsko-islamistes".

* avoir encensé, à leurs débuts, Caroline Fourest et Fiammetta Venner, "croisées intellectuelles et jubilatoires du monde laïque" qui se "font traiter de sioniste ou d'islamophobe".

* avoir pointé du doigt les écoliers musulmans comme réfractaires à l'enseignement de la Shoah.

* avoir surenchéri quand Nicolas Sarkozy avait évoqué un "nettoyage au kärcher" (« Moi, ce qui me gêne dans les propos de Sarkozy c’est pas qu’il dise "nettoyer", c’est que je ne suis pas sûr qu’on arrive à effectivement nettoyer au sens propre et au sens figuré du terme cette cité des 4000. (…) Le problème avec Sarkozy, c’est qu’il se contente de faire le matamore, qu’il dit qu’il va nettoyer sans nettoyer, voilà, ça ne suffira pas. ») et insulté les critiques de tels propos (« On se demande où ils voient le racisme là-dedans. Les abrutis du Mrap feraient mieux de se dire que le seul racisme qu’il y a en France, c’est qu’on considère qu’un petit arabe peut se faire tuer plus rapidement qu’un petit blanc.»)

* avoir dénigré le fondateur de l'hebdomadaire Politis, Bernard Langlois, pour son soutien envers Pascal Boniface, alors victime d'une campagne d'intimidation lancée par l'aile ultra-sioniste du Parti socialiste.

* avoir soutenu la "liberté d'expression" de Robert Redeker, un intellectuel ouvertement anti-musulman mais "menacé de mort par des cercles djihadistes pour avoir exercé son métier d’intellectuel" selon Askolovitch.

* avoir qualifié l'écrivain martiniquais anti-raciste Raphaël Confiant de "nettoyeur ethnique".

* avoir provoqué l'affaire Siné (au point de comparaître lui-même en justice, défendu par Patrick Klugman, désormais membre du comité directeur du CRIF et avocat des Femen).

  Les 3 lignes rouges

Claude Askolovitch n'a rien contre les musulmans -pas même les salafistes- pourvu qu'ils mettent en sourdine trois aspects problématiques à ses yeux :

* ne pas (trop) critiquer Israël : un éditorial, déclamé sur l'antenne d'I Télé le 19 janvier 2011, donne le ton. L'homme y caricature la campagne BDS (boycott, désinvestissement, sanctions) qui, selon lui,  "dynamite" la société française et commet "l'injustice qui ne marche pas" de présenter Israël comme un régime d'"apartheid". L'homme est ici plus royaliste que le roi : selon un récent sondage, les Israéliens eux-mêmes reconnaissent (en l'approuvant) que leur système politique s'apparente à celui de l'apartheid pratiqué en Afrique du sud. A croire qu'ils n'écoutent pas les éditos enflammés de Claude Askolovitch.

Voici la vidéo exhumée des archives de Panamza.

* ne pas (trop) critiquer son ami Manuel Valls : en préambule, voici ce que j'écrivais, le 11 septembre dernier, dans mon dossier spécial consacré au sionisme exacerbé du ministre de l'Intérieur.

"Le 5 mai 2012, Valls, Fouks et Bauer devaient se réunir dans un restaurant chic de Paris afin de fêter leurs « 150 ans ».A la veille du second tour de l’élection présidentielle, le premier a jugé préférable d’annuler sa venue. Un homme faisait partie des convives : Claude Askolovitch. Ce journaliste, fils d’une figure éminente du sionisme dit de gauche et réputé pour ses critiques de la dérive idéologique du CRIF, fait également partie du cercle proche du ministre. En 2008, les deux  hommes avaient publié un livre d’entretiens. Récemment encore, le 31 janvier, Askolovitch (ancien élève de l’école) organisa personnellement la conférence de Manuel Valls au Centre de formation des journalistes. Le détracteur saisonnier de Tariq Ramadan est également celui qui n’a pas hésité, dans l’hebdomadaire Marianne, à relayer la tirade de son ami à propos de son « lien éternel avec la communauté juive et Israël ». Relayer, en réalité, pour mieux déformer le propos. Claude Askolovitch a ainsi laissé entendre que les citoyens stupéfaits ou indignés par une telle déclaration seraient, au fond, des crypto-antisémites « coléreux » et préoccupés par le fantasme d’un « Valls enjuivé ». Dans cette tribune rédigée en février dernier, il reprocha à l’auteur de ces lignes (responsable de la divulgation) et, de manière générale, à « l’internet musulman » (parlerait-on d’un « internet juif » ?) d’attiser la haine anti-juive. Dans son dernier livre, consacré à l’islam de France, le journaliste dénonce l’islamophobie d’un côté pour mieux, de l’autre, diaboliser à nouveau les citoyens, musulmans ou non, qui seraient scandalisés par le sionisme exacerbé de Manuel Valls ainsi que sa préférence communautaire -contraire à l’esprit républicain. Le passage suivant résume ainsi sa désinformation caricaturale sur le sujet :

« Chalghoumi participe à la paranoïa communautaire. Après la cérémonie drancéenne et quand il vendait son livre aux médias esbaudis, a fleuri un peu partout dans la France musulmane l’idée d’un imam marionnette du pouvoir et des sionistes ; « pute du Crif » ai-je lu sur Internet.

Valls, au passage, se voyait rappeler que sa femme était juive et qu’il l’avait dit un jour, et que c’était une preuve. La preuve du complot. L’humiliation réveillait la haine, et c’était malin comme opération d’apaisement… ».

Comme Manuel Valls, Claude Askolovitch fait partie des rescapés de l’Atlantide strauss-kahnienne. Si le premier attendait patiemment que l’ex-dirigeant du FMI se déclare dans la course à l’Elysée (avant d’oser le faire lui-même et de récolter, in fine, un échec cuisant), le second a longtemps été le chantre-éditorialiste des prouesses internationales de DSK. "

Chose amusante, à propos de son ami, Claude Askolovitch tient désormais un discours à géométrie variable et en fonction de son interlocuteur. Ainsi, hier soir, sur Beur Fm, l'homme soulignait surtout sa "déception" quant au rapport à l'islam qu'entretient Manuel Valls tandis que sur France Inter, il préférait davantage insister sur le fait qu'il s'agirait de « l'homme politique le plus républicain et le plus intéressant à gauche » (à 9'23). Qu'en est-il dans son propre livre? Le passage suivant révèle à la fois son sentiment sur le ministre et la malhonnêteté de son argumentaire.

Valls Askolovitch

Le procédé rhétorique frise le ridicule : Claude Askolovitch tente ainsi de faire croire au lecteur que tout citoyen dénoncant l'attitude condescendante et stigmatisante de Manuel Valls à l'encontre de l'islam serait, en réalité, animé par un antisémitisme relatif à l'appartenance religieuse de l'épouse du ministre. On retrouve ici le même mécanisme sophistique que celui cité plus haut à propos des détracteurs de "l'engagement absolu" de Manuel Valls pour Israël : ceux qui s'en indigneraient serait également, in fine, des antisémites en puissance. Nul doute qu'il ne manquera pas d'exploiter cette thématique fallacieuse lors de son intervention, le 5 octobre, au Forum « La République face aux extrémismes » organisé par le Parti socialiste.

* ne pas (du tout) remettre en question la version officielle du 11-Septembre : le 18 mars, sur RTL, l'homme a fustigé la simple interrogation relative au récit politico-médiatique des attentats du 11-Septembre. Prenant le parti du journaliste Patrick Cohen (l'homme qui dressa une liste noire d'invités), Claude Askolovitch a surenchéri en se référant à Thierry Meyssan qui n'aurait "pas [dû] être invité" en 2002 dans l'émission de Thierry Ardisson. L'essayiste avait-t-il prononcé alors des propos susceptibles d'être poursuivis en justice comme de l'incitation à la haine raciale? Absolument pas. Cela n'empêche guère Askolovitch de prôner tacitement (à l'instar de Manuel Valls) la censure de tout débat contradictoire et relatif aux incohérences, mensonges et omissions de la version officielle du 11-Septembre. Il n'est pas difficile d'imaginer, en conséquence, que l'homme -pourtant rôdé à l'art de la joute oratoire- soit peu enclin à discuter de la connexion israélienne avérée des attentats de 2001.

"Halte à l'islamophobie" (ou comment amadouer les musulmans)

Si, pour ce sioniste "inconditionnel" et partisan loyal de Manuel Valls, les deux premiers points seront difficiles à voir se concrétiser auprès des musulmans, le troisième est le plus commode à obtenir : contrairement à leurs homologues étrangers, les figures montantes (et se revendiquant, plus ou moins, de l'islam) de la vie publique française (associative, politique, culturelle, journalistique) évitent largement d'aborder le sujet du 11-Septembre, par indifférence ou de peur d'être taxées de "complotisme", mot nébuleux et fourre-tout qui est progressivement employé comme stigmate social pour discréditer un adversaire.

L'évolution de la question israélo-palestinienne sera déterminante pour infléchir, ou renforcer, la critique d'Israël qui demeure vivace au sein d'une large majorité de la communauté musulmane hexagonale. Même incertitude pour l'homme qui aspire à conquérir l'Elysée : le discours sur l'islam de France qui est tenu par Manuel Valls (et la manière dont ses proches tenteront de l'embellir) influencera le degré d'impopularité du ministre, toujours élévée, parmi les musulmans français. Et s'il faut sacrifier Hassen Chalghoumi, cela sera : comme l'attestent plusieurs propos critiques de Claude Askolovitich à propos du président de la "Conférence des imams" (organisation-coquille vide initiée par Sammy Ghozlan, membre du B'naï B'rith), il semblerait que l'investissement politico-symbolique sur la personne de "l'imam de Drancy" soit déjà déficitaire.

Un fusible nommé Chalghoumi

Contrairement aux dirigeants du CRIF et au journaliste David Pujadas, Askolovitch a compris et intégré le fait que Chalghoumi ne deviendra jamais une référence pour les musulmans de France. Autant, dès lors, l'évacuer d'emblée, en le critiquant vertement comme il le fait de plus en plus. Sur cet aspect, l'ex-grand reporter a du flair : il a pris le pouls du terrain et deviné qu'il était contre-productif de persister à valoriser l'imam chouchou des médias.

De même que Paris valait "bien une messe" aux yeux du futur Henri IV, la préservation -sous les auspices de Manuel Valls- de la sacro-sainte alliance franco-israélienne (à travers l'opération séduction d'un électorat musulman de plus en plus influent) vaut bien de brûler l'idole de Drancy.

HICHAM HAMZA

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13 responses to Docteur Claude et Mister Askolovitch

  1. On octobre 8th, 2013 at 08:44 , Mooslim-Univers said...

    Pchiiiiiiiittttt !

  2. On janvier 28th, 2014 at 23:25 , jha said...

    Les lobbies sionistes americains ont poussé aux sanctions contre l'Iraq…qui ont couté la vie à 500 000 enfants Iraqiens…Madeleine Albright a trouvé que s'en valait la peine-"worth it"…le sionisme international a pu imposer des sanctions contre l'Iran…et ne parlons pas de la Syrie! mais quand on parle de boycott (volontaire,selon la conscience de chacun) contre Israel…alors là…ces hypocrites crient au blaspheme et nous ressassent les "heures sombres de l'histoire"…ils affament,tuent par les sanctions des centaines de milliers d'enfants cyniquement et soudain ils se mettent à pleurnicher.

    Le boycott Arabe n' a jamais été effectif…le maroc,la jordanie,l'arabie seoudite , l'egypte et les emirats du golf Persique ont toujours été à voile et vapeur…double face…

    le mythe du petit Israel face au MONDE ARABE…c'est du pipeau…même le mouvement des "freres musulmans" était et est encore en etroite collaboration avec la CIA…donc du mossad…y quà voir qui est le bienfaiteur et le parrain de Qardawi ou de Ramadhan…l'emir du Qatar ou devrais je dire de la base Americaine.

    Il y a tout de meme un espoir…malgré tous leurs journaux,tv,sites internet,main mise sur l'éducation…ils ont peur…le mensonge craint la véritée…Press tv Iran a été bloquée parce que cette tv donnait la parole à des dissidents occidentaux…Les dissidents en occident sont menacés,arrétés et les mouvements sionistes tentent de les ruiner…

    il est temps que les Musulmans cessent de se comporter comme le chien de Pavlov…un sioniste vous fait un clin d'oeil et hop on se met à genou devant lui…un sioniste vous denigre et hop on se met en colere et on se fait manipuler…Il est temps de devenir lucide : sioniste qui ouvre la bouche..sioniste qui ment.

  3. On mars 9th, 2014 at 20:39 , rachid mecanik said...

    Une chose d'indéniable au sujet d'askolovich, c'est lorsqu'il débat avec plusieurs personnes, il cale son discours sur la pensée majoritaire du plateau dudit débat. Ce qui laisse paraitre un homme sans aucun charisme, ni idéologie cohérente (vu sur un débat télévisé sur la théorie du genre). Il commence avec ses idées et termine avec l'idée majoritaire qu'il caresse dans le sens du poil si ça ne plait pas l'ensemble interlocuteurs. Quel courage. Ils se sont bien trouvés, lui et manouel.

  4. On novembre 20th, 2015 at 22:34 , Domino said...

    Il m'avait horripilée, il y a quelques années, en écrivant dans Marianne ou l'Obs, au sujet d'un ado juif tabassé dans le XIXème par un groupe d'arabes et de noirs "va vite mieux, petit ange". Bon, il s'est avéré plus tard que le petit ange en question était sous le coup d'une convocation par la police pour coups et blessures lors d'une castagne du Bétar, et que il s'agissait d'une bagarre entre deux groupes d'ados coutumiers du fait, pas d'une' lâche agression d'odieux musulmans contre un angélique jeune juif rentrant seul de la synagogue! Tout le monde peut se tromper, mais n'est-ce pas le premier devoir d'un journaliste de vérifier ses écrits ? 

  5. On janvier 18th, 2016 at 11:21 , Michel said...

    Pendant les heures "sombres" du boycott nazi, années 1936/39, la Histadrout pratiquait le même boycott contre le travail et les produits palestiniens:"J'ai dû combattre mes amis sur la question du socialisme juif, pour défendre le fait que je n'accepterais pas les Arabes dans mon syndicat, la Histadrout, pour défendre la demande pressante faite aux ménagères de ne pas acheter dans les magasins arabes,pour verser du kérosène sur les tomates arabes et écraser les oeufs arabes qu'avaient achetés les ménagères juives,  pour défendre le fait que nous montions la garde dans les vergers pour empêcher les travailleurs arabes d'y trouver un emploi, pour acheter des dizaines de dounams à un arabe, mais pour interdire de vendre un dounam juif à un Arabe,pour considérer rotschild, l'incarnation du capitalisme, comme un socialiste". David Hurst: The gun and the olive branch.Nation books p. 185.

    A noter que la Histadrout avait un quasi monopole sur le commerce israélien avec l'Afrique du Sud de l'Apartheid.(vente de Uzis, de bateaux lanceurs de missiles, radars, clôtures électroniques anti-guérilla).BDS France Editions.

     

     

  6. On janvier 31st, 2016 at 16:23 , Claude Askolovitch, cet antiraciste dont la « lutte contre l’islamophobie » ne veut pas said...

    […] [3] Houria Bouteldja et Youssef Boussoumah, « L’étrange islamophilie de Claude Askolovitch », Parti des Indigènes de la République, 2 octobre 2013 ; Hicham Hamza, « Docteur Claude et Mister Askolovitch », http://www.panamza.com, octob… […]

  7. On février 1st, 2016 at 15:39 , Dcembre said...

    Sionisme = Zizanie 

  8. On février 1st, 2016 at 18:49 , Mafia sioniste said...

    Soignez vous (au phosphore blanc) docteur askolovitchy !

  9. On février 1st, 2016 at 20:56 , marie said...

    Moi je n'irai jamais en Israel, de meme que je n'ai jamais mis les pieds en Afrique du sud du temps de l'apartheid. L'apartheid israelien est pire a mon avis, car ils torturent les enfants, les bombent au phosphore dans les ecoles, detruisent les hopitaux et financent Isis .

    Le satanisme sionisme est la pire plaie que l'humanite a eu a gerer dans sa longue histoire.

  10. On février 2nd, 2016 at 00:51 , Mclupo said...

    Arse Holovitch lui va comme un gant

  11. On février 2nd, 2016 at 14:47 , carl said...

    ISIS= International Secret Israeli Services.

     

  12. On février 3rd, 2016 at 09:58 , tailpar said...

    Toute l'œuvre de Roger Ascot, père de Claude Askolovitch, est centrée sur le destin des Juifs de France.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Ascot

     

  13. On février 13th, 2016 at 11:31 , marco said...

    De grandes choses semblent se mijoter…
    http://lphinfo.com/2016/02/12/arieh-dery-en-france-a-la-rencontre-de-la-communaute-juive/

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