La pub de Juan Branco est assurée par la milliardaire Badinter
INFO PANAMZA. Visible dans le métro parisien, la promotion publicitaire du pamphlet anti-Macron de Juan Branco a été exceptionnellement autorisée par un groupe dirigé par Elisabeth Badinter, militante sioniste et anti-islam. La preuve en sources.
Le 06.05.2019 à 21h12
Un incroyable scandale mais un formidable révélateur : la publicité de la moindre oeuvre artistique ou littéraire vaguement politisée est systématiquement censurée dans le métro parisien sauf dans un seul cas -celui du gourou en devenir Juan Branco.
Rappel des faits : depuis plusieurs jours, une affiche commerciale vantant le prétendu brûlot de l'avocat Juan Branco est visible dans le métro parisien.
Qui gère et autorise la pub dans le métro?
La compagnie Metrobus, après avoir consulté formellement l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité, aujourd'hui présidée par l'aristocrate de droite François d'Aubert.
Qui est l'administrateur de Metrobus après avoir été son PDG ?
Gérard Unger, compagnon de route du Parti socialiste (comme Branco, autrefois associé à un think-tank du PS), co-dirigeant de l'officine d'intimidation judiciaire Licra, propagandiste au service d'Israël et vice-président du Crif.
Quelle est la puissante maison-mère de Metrobus ?
Publicis, principalement dirigée (aux côtés de son fils Benjamin et du mécène sioniste Maurice Lévy) par la milliardaire engagée pour Israël et contre l'islam Elisabeth Badinter.
Détail cocasse : dans son essai vendu comme un Petit Livre rouge, calibré pour bobos-en-quête-de-frisson-révolutionnaire et digne d'un St-Just-de-MJC, Branco évoque fugacement Maurice Lévy, presenté superficiellement comme un proche de Macron.
Rappels des infos de Panamza au sujet du clan crypto-communautaire et mystico-laïcard de Badinter :
* Elisabeth Badinter n'est pas simplement "philosophe" ou "féministe" comme la présente régulièrement la corporation médiatique traditionnelle. Richissime héritière de Marcel Bleustein-Blanchet, elle est la principale actionnaire de Publicis, 3ème groupe de publicité au monde. Farouche opposante au port du foulard islamique selon laquelle "il ne faut pas avoir peur d'être traité d'islamophobe", elle est également l'une des principales propagandistes de l'amalgame mensonger "antisionisme=antisémitisme"
{http://panamza.com/bhl;http://panamza.com/aip; http://panamza.com/aiq;http://panamza.com/air; https://youtu.be/D7eNeiV6GOs}.
* Maurice Lévy, patron de Publicis jusqu'en 2017, avait organisé à Paris -en 2008- la célébration des 60 ans de la création d'Israël . En 2003, un portrait publié par l'Express révéla qu'il il "oeuvre sans bruit en faveur du développement économique de l'Etat hébreu"
{http://panamza.com/aij; http://panamza.com/aik}.
Lors de la polémique internationale à propos du "mur de séparation" construit par le gouvernement du criminel de guerre Ariel Sharon, Publicis (chapeauté par le tandem Badinter/Lévy) avait été chargée par Israël de réaliser une contre-campagne de communication positive à propos de cette clôture pourtant critiquée par l'ONU {http://panamza.com/aik;http://panamza.com/aim}.
En résumé : tandis que la RATP interdit officiellement sur ses murs "toute communication à caractère politique ou religieux, surtout en période électorale", la pub du livre ouvertement anti-Macron de Branco bénéficie -à trois semaines des élections europénnes- d'une dérogation exceptionnelle dont la responsabilité relève de la famille ultra-riche et sioniste des Badinter, étroitement liée (depuis 1974) à Jacques Attali -le kabbaliste-mentor de Macron…
Qui dit mieux ?
À noter, ce détail croustillant : son époux Robert Badinter (engagé dans le sionisme, pop-star du Crif et surencensé par la corporation médiatique comme une vache sacrée) est le co-fondateur (avec Jacques Attali, parrain intellectuel et professionnel de Juan Branco) de l'association "Socialisme et judaïsme" dont l'un des buts consistait à "initier les cadres du Parti socialiste aux charmes de l'État d'Israël"…
En bonus, pour conclure : deux perles -légères et amusantes- qui furent récemment dénichées par Panamza :
* quand Branco organisait en 2008 (et sans prendre de risques personnels…) le harcèlement de rue à l'endroit des chauffeurs de 4X4
* quand deux voyantes cartomanciennes mettent en garde (séparément et sans préjugé antérieur à son endroit) contre Juan "Opposition Contrôlée" Branco…